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PPU de la partie nord de L’Île-des-Sœurs

Commentaires en ligne - Environnement

  1. ANDY LAMARRE
    C'est quoi cette stupidité de faire de l'Ile des Sœurs un centre d'achat tel que le 10-30 de Brossard.
    Laissez nous vivre tel que nous vivons maintenant.
    On manque déjà d'espace sur cette ile.
  2. ahmed chetioui
    La mise en place éventuelle du PPU tel qu’il est décidé, aura une conséquence majeur sur notre cadre de vie, le modifiant de façon irréversible, la densification telle qu’elle est voulue et annoncée créera un pseudo centre-ville dans la partie nord de l’ile, de même que les constructions en hauteur ne sont pas du tout compatible avec notre mode de vie, le PPU devrait s’assurer de préserver les acquis, en proposant des mesures d’intégration urbaine soucieuses de respecter le cadre bâti actuel, et les résidents déjà établis en particulier, Il faudrait conserver ou favoriser le modèle pavillonnaire qui caractérise l’ile des sœurs.
    La cité-jardin qui constitue notre cadre de vie devrait être pérenniser, il faudra intégrer de la végétation de façon massive et préserver ces îlots de verdure car ils contribuent à notre qualité de vie. De même le centre commercial véritable cœur de l’ile doit être maintenu tel quel, une densification a cet endroit et une construction massive en hauteur verra l’horizon se bouché, la vue se brouillé et le soleil s’estompé.

  3. Joelle-Marie Morin
    La Pointe Nord de l’IDS est, à mon avis, très mal développée. Architecture trop moderne et froide, sans « âme » ni cachet, immeubles beaucoup trop hauts, sans assez d’espace entre les constructions, maisons cubiques et criardes... C’est déjà « sec », laid et le projet proposé fait peur. Beaucoup trop de densité et trop peu d’espaces verts; d’arbres matures conservés. Tout le côté « sauvage » de l’Île a été démoli ou rasé depuis les 15 dernières années. L’IDS était auparavant synonyme de « la campagne en ville ». Déjà, la Pointe-Nord ressemble à une ville futuriste sans goût ni ambiance et dénuée de nature. Un « Griffintown » non bienvenu ni souhaité. Le verdissement et l’offre des parcs (minuscules) sont nettement insuffisants. Il n’y a pas d’endroit pour stationner, donc, les nouveaux commerces ne sont pas fréquentés par les autres résidents de l’IDS car c’est trop désagréable de s’y rendre en voiture et trop loin à pieds. Beaucoup trop de densité commerciale et résidentielle prévues sans penser à la qualité de vie et l’impact sur la population actuelle de l’Île, qui recherchait l’aspect calme, tranquille, sauvage, naturel et « old school » de ce joyau peu peuplé à Montréal. Des immeubles de 8 à 18 étages substituant l’espace disponible sur Place du Commerce? Inconcevable. Tout serait collé et « claustrophobant ». Une très mauvaise idée. Je m’oppose à tout changement sur Place du Commerce que j’apprécie tel quel.

    SVP Laissez le parcours riverain sauvage.
  4. brigithe leduc
    le verdissement est insuffisant,il y as encore trop d’asphalte ou de béton.Pourquoi ne pas changer la couleur de l’asphalte pour un ton plus clair pour éviter les îlots de chaleur?
    il y as eu bcp de saillie de trottoir d’installées,pourquoi ne pas permettre aux gens d’entretenir et de verdir une saillie de trottoir ou carrément d’y faire pousser des légumes??l’agriculture urbaine est d’actualité et redonner la possibilité aux citoyens de prendre soin de leur environnement est une belle idée
  5. Serge Leclerc
    Les espaces verts devraient être prioritaires par rapport aux projets de construction.

    Parcours riverain à compléter du côté nord ouest.
  6. claude savage
    Bâtir dans les espaces verts c’est créer des ilots de chaleur et pourquoi gaspiller un si bel environnement où l’urbanisme a été bien pensé.
  7. Jean Houle
    - IDS doit retrouver son aspect vert et sauvage et pas seulement en petits îlots

    - On se sentait en campagne auparavant mais vos développements viennent tout gâcher cet aspect qui nous y a attiré.

    - Ne faite pas l'erreur de gaspiller le reste de cet environnement au profit des taxes.

    - Tout le parcours riverain doit redevenir sauvage

    - Et n'oubliez pas que le bruit commence à être très désagréable. Partout où l'on va, quelqu'un fait du bruit, un résident ou un entrepreneur. Pensez à obliger la machinerie électrique ou du moins à bas niveau sonore.

    - Améliorez l'éclairage, ce qui ne veut pas dire de poser des lampadaires aveuglants et de lumières de piètre qualité visuelle


  8. Marc Prevost
    Nettement satisfaisant sauf sur la pointe nord depuis sa construction à la mode Griffin Town.4 tours de condo en hauteur et la possibilité de 2 autres. Ce visage de l’Ile a été complètement défiguré en 10 ans. Un désastre.
  9. Michel Guerra
    Avec une population actuelle d’un peu plus de 20 000 habitants, à laquelle s’ajoutent actuellement 8 715 travailleurs, la question primordiale de la capacité des infrastructures sanitaires de supporter l’augmentation de résidents et de travailleurs prévue par le PPU ne peut être ignorée. Cette question est d’autant plus importante que ni les documents déposés par la Ville ni le projet de PPU ne font mention de cet enjeu, mis à part le portrait du secteur qui met à jour leur localisation.
    • La Ville a-t-elle réalisé des études quant à la capacité des infrastructures sanitaires de l’Île à accueillir la mise en oeuvre de ce PPU?
    • La capacité de ces infrastructures devra-t-elle être augmentée?
    • Les résidents actuels devront-ils payer pour la réalisation des travaux d’augmentation de la capacité des infrastructures actuelles via leur compte de taxes municipales?
  10. Yolanda Mena
    Les photos que vous utilisez pour comparer l'avant et l'après de l'île sont trompeuses. Vous utilisez des photos d'hiver, pleines de neige pour le "présent" et des photos d'été ensoleillées pour le "futur". Les images qui vous y avez mises trompent l’oeil. Pourquoi ne pas mettre des photos d'hiver dans votre document pour le scenario futur? Des photos du chaos avec des camions qui enlèvent la neige sans espace où l'accumuler pendant que milliers des persons essayent de circuler aux heures du point, peut-être?

    J‘habite à l'île depuis plus de 20 ans. J'ai choisi cet endroit pour y vivre parce que mon travail m'oblige à être au centreville de Montréal, mais l'environnement dans lequel je veux vivre est celui de l'île : espaces verts, pas de traffic, pas de feux de circulation, pas de surpopulation. J'ai vu la transformation et la croissance de cette belle île sous le slogan de vivre en pleine nature à 10 minutes du centre-ville de Montréal. C'est totalement faux, car vous détruisez la base de cette phrase que vous avez utilisée pour vendre.

    S'il vous plaît arrêtez de tromper le public et respectez le peux qui nous reste de l'environnement paisible au milieu de la nature dont nous rejouissons, l’âme de cette île.
  11. Marie-José Deschamps
    Absence d’espaces verts et de parcs

    L’aménagement de la promenade du littoral entre le pont Samuel-de-Champlain et l’estacade devrait être réalisé aussitôt que possible et non dans dix ans tel que prévu actuellement.

    Il est aussi important que la ville reprenne dans un avenir rapproché le terrain du concessionnaire automobile qui est actuellement un grand terrain de stationnement qui n’est rien de moins qu’un ilot de chaleur. Adjacent au littoral entre le pont Samuel-de-Champlain et l’estacade, il serait possible d’aménager un grand espace vert et aussi l’aménagement d’espaces collectifs (école et autre).
  12. Suzanne Bertrand-Gastaldy
    L'entrée de l'Île est déjà passablement envahie par le béton avec les édifices comme ceux de SAX, de la Place du Commerce, Panorama, le rond-point. Ajouter des édifices supplémentaires en hauteur sur la Place du commerce nuirait encore davantage au concept de cité-jardin. C'est d'autant plus nécessaire que c'est l'endroit qui crée la première impression sur l'Île. On ne doit pas donner d'emblée l'image d'un goulot d'étranglement qui ressemblerait à ce que l'on trouve à l'entrée de Montréal ou dans le quartier Griffintown. Il faudrait absolument privilégier des espaces verts, des constructions plus basses, des stationnements souterrains avec toits verts, à la rigueur des stationnements étagés. Les édifices élevés devraient se trouver seulement en bordure du chenal et du pont, pourvu qu'ils soient entourés d'espaces verts non étriqués.

    La Place de la Grande-Marguerite est un ratage complet où personne ne s'arrête, à cause de l'inconfort des bancs, de l'absence de verdure, de la proximité des stationnements. Il faudra penser à aménager une place verdoyante, arborée, avec de l'équipement urbain confortable, suffisamment vaste et centrale pour que les gens puissent s'y reposer, siroter une boisson, manger un sandwich, socialiser, etc.
    Si cette place donnait accès à des équipements sportifs et culturels, en plus des commerces, elle serait certainement très fréquentée.

    Un parcours riverain aménagé sur tout le pourtour de l'Île est souhaitable pour que les résidents et les visiteurs puissent profiter pleinement de la proximité du fleuve et du chenal.
  13. PIERRE GASTALDY
    Il y a 35 ans la question de l'environnement ne se posait pas. Il y avait une grande forêt, un golf de 9 trous, un "driving range" et des arbres le long des rives. La forêt regorgeait d'oiseaux et de petits mammifères: des hérons, des renards, des moufettes, des ratons laveurs, un daim (!), j'y ai même vu une chouette lapone. Il ne nous reste que quelques écureuils... et des castors ravageurs. À droite de l'entrée de l'île , un riche milieu humide a été sacrifié pour faire place aux édifices du SAX en contravention avec la réglementation du Québec.
    Ces espaces verts ont graduellement été sacrifiés pour le plus grand profit des promoteurs immobiliers et de l'assiette fiscale de la ville de Verdun. Je serais curieux de savoir si, comme la loi les y incite, les promoteurs ont tous consacré 10% de leur développement à des fins de parcs en terrains plutôt qu'en argent. Heureusement que de généreux donateurs ont pu préserver un petit bout de la forêt initiale. Les parcs qui restent sont tout de même bien agréables et font le charme de l'île. Il a fallu se battre pour qu'un parc ne soit pas sacrifié (au moins temporairement) au profit d'une école qu'il faudra agrandir un jour. Pourtant on peut encore presque parler de cité-jardin! Le projet proposé n'y contribuera en rien. Qui plus est conserver le caractère spécifique de l'île exige que le ton soit donné dès l'entrée qui donne sur la Place.
    Le ridicule parc de la Marguerite n'est qu'un îlot de chaleur (à peine adéquat pour y stationner des Bixis); c'est un suprême ratage où jamais personne ne se tient. Le développement de la pointe nord (la vraie, où il y avait le "driving range") a donné lieu à un abattage considérable d'arbres matures. La Place du Commerce devrait donc être largement arborée, voire conçue autour d'un plan d'eau. Allez voir le square Dorchester sur l'heure du lunch quand il fait beau: sur des bancs, les travailleurs s'y reposent, mangent, déambulent, discutent... vivent!

    Le parcours riverain, longtemps interrompu par les travaux des constructions "Evolo" et du pont Champlain devrait être repris. Certains résidents ne le verront pas d'un bon oeil devant chez eux; ils exigeront à juste titre une clôture comme c'est le cas à Habitat 67. Devra-t-il être accessible aux vélos, scooters électriques, trottinettes et autres? Non, seulement aux piétons!
    Le Lac des Battures devrait être reconnecté au fleuve, pour que son exutoire ne soit plus réduit comme c'est le cas à un filet d'eau débouchant sur un marécage que la ville essaye d'oxygéner mécaniquement avec un succès relatif.
  14. Richard Provost
    Les espaces en place sont l'un des attrait majeur de l'île, ils sont en quantité suffid=santes mais doivent être préservés sans un développement urbains à leur rives.

    assuré un entretien des parcours en place.
  15. Geneviève Paquin
    Il faut arrêter de construire d'autres condos ou autres habitations afin de laisser des terrains pour des espaces verts que je considère insuffisants.

    L'IDS a tellement changé depuis les 20 dernières années avec les tours et maisons.

    Que le terrain de golf soit accessible aux résidents de IDS car actuellement, c'est trop cher.

    L'eau d'arrosage des pelouses ou golf devrait provenir des cours d'eau et non du système d'aqueduc de la ville
  16. Jean-Marie Tétreault
    Le verdissement et l'offre de parcs et d'espaces verts devraient être augmentés à la Pointe Nord près de berges et celles-ci devraient être préservées et facilemnt reliées aux autres pistes dans l'Île.
  17. Carole Levac
    Les espaces verts permettent à tout le monde de mieux se détendre tant au niveau physique que moral, et ils sont des plus importants pour nous. En ce qui a trait à ce qui nous a été présenté, je pense que verdir davantage serait approprié surtout sur une île qui a toujours été connue comme étant verte.

    Lors de la première audience publique, il n'y a eu aucune intervention pour les animaux. Ayant fait un parcours dans le Domaine Saint-Jacques récemment, j'ai appris que les animaux peuvent affecter la croissance des arbres et plantes dans nos espaces protégés. Plusieurs de mes amis et moi pensons qu'il serait important de planifier des parcs à chiens un peu partout sur l'IDS afin de protéger nos espèces et de permettra aux animaux d'avoir un lieu sécure pour eux. De plus, ceux-ci favoriseraient les relations entre animaux et leurs maîtres.
  18. Sherman Carroll
    Il faut respecter le fait qe l'IDS est une 'cite-jardin'. Il ne faut donc pas construire en hauteur et a haute densite. Les limites actuelles de 8 etages et l'implantation au sol 'moyenne' sont largement suffisantes pour la Place du Commerce.

    Il fait respecter les corridors du vue actuels. Les gens qui habitent dans les tours de condos ont le droit de preserver leur vue sur le centre-ville et le Mont-Royal.

    Il faut qu'il y ait des espaces verts dans le nouveau developpement de la Place du Commerce. C'est l'integration entre l'espace construit et la nature qui compte - pas seulement le nombre d'hectares de verdure.

    Il faut prevoir plusieurs espaces verts / sociaux / avec plans d'eau a travers la Place du Commerce.





  19. François Simoneau
    Dans sa forme actuelle, le PPU ne contribue en rien à maintenir le caractère typique de cité-jardin qui a guidé l’aménagement de l’Île; bien au contraire, le plan proposé risque de lui porter sérieusement atteinte au point d’en faire disparaître complètement le caractère distinctif.

    Quant au parcours riverain, il devrait être aménagé au plus tôt et ses utilisateurs devraient être exclusivement des piétons.
  20. Sina Nabavi
    Water front should be one iconic place for Nuns Island to show the integrity of human and nature. Design can be mix cultural statues and form for gardens from 5 continents. In this case we can divide the water front to 5 or several zones with bike path and pedestrian road to have a journey between different zones.