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PUM 2050

Commentaires en ligne - Une vision pour 2050

  1. Patrick Quirion
    Mon opinion est que pour 2050 l’amélioration de la ville doit être fait dans un cadre où le citoyen et la ville travail en collaboration dans un but d’équité et de mesure qui respecte le cadre citoyen de démocratie et qui inclu un moment de réflexion approfondie sur l’ensemble des mesures qui sont déposé dans le but de faire participer et faire valoir l’ensemble des mesures et idée qui sont déposée
  2. Linda Collette
    Tout à fait d'accord avec la vision et les principes proposés.

    Quant aux actions prioritaires: environnement, biodiversité- verdissement, lutte contre les changements climatiques, santé et sécurité de même que la réduction des inégalités sociales.
  3. Antoine Léger
    Je soutiens pleinement la vision de la Ville de Montréal en matière d'amélioration du réseau de transports actifs et collectifs, ainsi que la réduction de la place de l'automobile. Ces démarches sont essentielles pour créer une ville plus durable et agréable à vivre. La mise en valeur de la biodiversité est également un aspect crucial de ce plan, et des projets tels que la création du Grand parc de l’Est et la piétonisation de la Voie Camilien-Houde sont particulièrement inspirants.

    P.S.
    L'intégration d'une piste cyclable protégée sur le Chemin de la Côte-des-Neiges, entre le Chemin Remembrance et la Rue Sherbrooke est un nécessité. Les vélos sont actuellement contraints d'utiliser le trottoir à défaut de se faire frôler par le bus 165!

    En somme, je salue la direction dans laquelle notre ville se dirige et j'encourage vivement à poursuivre et intensifier ces initiatives pour un Montréal encore plus vert et accessible.
  4. Marc Bonhomme
    Pour combatte la crise du climat et de la biodiversité
    Plus de nature et moins de marchandise

    En ces temps de crises climatique et de biodiversité qui toutes deux s’aggravent exponentiellement, l’aménagement urbain est soumis au clash frontal de deux forces fondamentales. D’un côté, la croissance de la circulation des marchandises qui accapare de plus en plus le réseau routier et nécessite davantage d’espaces d’entreposage et de vente. De l’autre côté, il y a nécessité impérative de multiplier les espaces verts de toutes sortes afin de lutter contre la chaleur et absorber les gaz à effet de serre (GES) sans compter l’apaisement du buzz urbain pour la détente et la récréation. La nécessité vitale de plafonner immédiatement les émanations de GES puis les diminuer, alors que mondialement non seulement continuent-ils de s’accroître mais ils le font à un taux croissant ( https://gml.noaa.gov/ccgg/trends/gr.html) pendant qu’au Québec, les émanations de GES « sont reparties à la hausse en 2022 […], un signal inquiétant, car le gouvernement s’est pourtant engagé à réduire les GES de 37,5 % en 2030 par rapport à l’année de référence 1990. » (https://www.ledevoir.com/environnement/809018/emissions-ges-encore-hausse-2022-quebec?).

    Faut-il rappeler que la COP15 sur la biodiversité, qui a eu lieu à Montréal en 2022, s’est engagé à « la protection de 30 % des terres et des océans d’ici 2030. Cette cible a été présentée comme l’équivalent pour la biodiversité de l’objectif de Paris de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C » et en plus la COP15 « propose de restaurer 30 % des terres dégradées » y compris en milieu urbain (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1942394/cop15-biodiversite-accord-montreal-chine-nord-sud). Faut-il rappeler qu’« [a]lors que la 15e Conférence des Parties (COP15) bat[tait] son plein, la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) annon[çait] qu’elle adhère aux objectifs des Nations Unies visant à protéger la nature et à contrer la perte de biodiversité et s’engage[ait], à l’instar du gouvernement du Québec, à atteindre l’objectif de 30 % de milieux naturels protégés dans le Grand Montréal en 2030. » (https://cmm.qc.ca/communiques/protection-des-milieux-naturels-la-cmm-sengage-a-atteindre-30-en-2030/).

    Vous comprendrez que je suis éberlué par les recommandations 10 et 12 émanant de la première phase de consultation sur le "Plan de ville 2050" ayant eu lieu en 2022. Loin de falloir dédier à la logistique des marchandises des axes routiers précis, comme probablement le prolongement du boul. Assomption et de l'autoroute Souligny, il faut en soustraire impérativement. De même que loin de soutenir le développement et le rayonnement des activités aéroportuaires, portuaires, ferroviaires, du transport routier et de la distribution des marchandises, il faut les restreindre. Ces soustractions et restrictions sont d’autant plus nécessaires que depuis plusieurs années, l’organisation Mob6600ParcNature se démène comme des diables dans l’eau bénite pour faire du secteur L’Assomption un parc nature. Pour tout dire, il faudrait plutôt exproprier la propriété de Raymond Logistique que la Ville de Montréal n’a pas su ou voulu empêcher à temps de construire sa plateforme dont la pollution sonore, visuelle et comme ilot de chaleur est une plaie dans le quartier populaire Hochelaga-Maisonneuve que j’ai l’honneur d’habiter.

    Marc Bonhomme
  5. Lucie Huart
    Je suis d’accord avec les objectifs énoncés dans le PUM 2050 à savoir qu’il faille réduire les déplacements en automobile et augmenter l’offre de services au niveau des transports collectifs de même que mettre l’accent sur le transport actif. Toutefois, il y a aussi lieu de voir à réduire la circulation automobile générée par les travailleurs provenant de la banlieue et qui transite quotidiennement sur l’île de Mtl en voiture solo!
  6. Claire Adamson
    Remplacez les tramways proposes par les autobus, quelques fois avec une voie dedie.
    Les trains sont chers, et ils bloquent la circulation quand ils sont en panne. Leurs fils aeriennes polluent. Leur rails sont dangereux pour les velos et les pietons.
  7. Natacha Beauséjour
    Je suis pleinement en faveur d’une vision inclusive, active et écologique pour le Montréal de demain: investir dans la mobilité active et le transport en commun, augmenter les espaces verts, promouvoir les logements abordables et les protéger. Il serait intéressant de penser à une façon de limiter le transport par camion durant les heures de traffic, et d’envisager une voie de contournement de Montréal pour les trajets Nord-Sud.
  8. Isabelle Vigeant
    Septembre 2024

    Visualisons un Montréal qui crée plus grand avec une spirale positive verte en étant un leader mondial pour la sauvegarde des boisés pour promouvoir les campagnes en ville - un rêve qui pourrait devenir réalité par la création d’une loi de préservation des espaces verts ET des boisés déjà en place et qui mérite d’exister – pour la santé de la planète et de tous les citoyens de la terre.

    Tout d’abord, merci de nous offrir cette possibilité d’expression et d’être à l’écoute des citoyens… qui méritent tous une qualité de vie dans chaque quartier de la ville et un lieu sain avec verdure à proximité, accessible à pied de nos domiciles, pour des bienfaits quotidiens.

    Il y a quelques jours, il y a eu l’annonce de l’acquisition du boisée Steinberg ainsi qu’une partie de la Friche à Hochelaga… une nouvelle absolument fantastique qui crée un sens dans plusieurs non sens actuel… Il y a donc de l’espoir pour ce désir de sauvegarde des espaces verts. Et un immense merci pour votre persévérance à travers beaucoup de vents d’oppositions tant au privé ou dans les anciennes lois et visions des gouvernements qui n’ont plus leur pertinence avec les urgences mondiales et qui doivent continuer à s’adapter à notre nouvelle réalité terrestre… pour créer de nouvelles lois en lien à ces changements climatiques qui crient de plus en plus fort les impacts du laisser aller collectif de la planète. Montréal a maintenu pour dire un non à une nouvelle route à camion qui aurait passé à travers notre merveilleux boisé avec cet achat du terrain. Un grand départ. Mille mercis. Vous avez choisi la spirale positive verte… Quel bel exemple, une immense fierté pour notre ville et inspiration pour d’autres villes du monde entier.

    Je vous avoue que c’est un défi pour moi de vous écrire et je vous remercie à l’avance de votre patience pour me lire jusqu’à la fin…car je sais qu’avec mon TDA, je n’ai pas une énorme structure et j’écris beaucoup de détails que certains trouveront peut-être non pertinents… ou encore on le sait tout ça, on veut apprendre quelque chose de nouveau… mais je ne voulais pas me bloquer à vous écrire… juste exprimer ce que j’ai appris concrètement car je suis beaucoup plus connectée avec la nature depuis la pandémie et j’y vais avec tout mon cœur en tentant d’exprimer les mots…et oui je peux me répéter souvent avec certaines choses que je trouve primordiale à crier sur les toits... Aussi juste de tenter de résumer… quand il y en aurait tellement à dire… bref, on pourrait écrire un roman entier individuellement pour nos ressentis et les bienfaits de la nature avec des exemples infinis… et justement il n’y a plus assez de mots pour exprimer les maux face au destruction massive d’arbres qui font souffrir la planète… nous font souffrir également… ou encore à l’inverse, il n’y a plus assez de mots pour exprimer les mille et un bienfaits de ces espaces de vie précieux qui valent la peine d’exister. Des lieux d’amour, d’énergie positive et de guérison… qui crée plus grand sans jamais de doutes et oui si tout est possible, visualisons cette nature qui continue de grandir à travers la planète et qui nous enveloppe de bienveillance. Chaque citoyen en a grandement besoin de ces lieux de calme avec les intensités individuelles et collectives qui s’accélèrent dans nos quotidiens. Ces lieux de retour à nos instants présents sont de plus en plus indispensables pour mieux rebondir dans nos quotidiens souvent effrénés.

    Montréal, notre ville choisi pour y vivre… et on veut y rester et on veut y vieillir en santé. La verdure qui s’est créée au fil du temps avec notre ville qui grandit… est exceptionnelle. Ces petits boisés – des petits cadeaux du ciel - qui ont créés de merveilleuses campagnes en ville. Des espaces de vie privilégiés qui méritent d’exister. Qu’est-ce que ça prendrait pour un jour créer cette loi de préservation des boisés qui existent déjà… et on laisse nos boisés telles quelles grandir et qui se régénèrent d’eux-mêmes. Ce sont des lieux souvent sous-estimés pour tous les mille et un bienfaits qu’ils nous apportent au quotidien. Continuons à créer des petits miracles un à la fois, avec la sauvegarde des boisés à travers les oppositions car c’est un choix pour notre habitat, notre planète, notre santé. Rien n’est plus important pour la création de notre avenir à travers les secousses de la planète. Qu’est-ce qu’on attend ? Attendre trop au point de non retour ? Voulons-nous adoucir les secousses de la terre ? La terre ne peut pas être mise de côté… C’est notre vie. Créons ces racines qui se connectent entre elles dans les profondeurs du sol de la terre.

    Chaque quartier de la terre mérite son espace vert… notre habitat est bien plus que nos maisons individuelles… c’est tout notre environnement et quoi de mieux que de pouvoir accéder à pied de chez soi à des campagnes en ville créées au fil du temps.

    Apprendre aux enfants à prendre soin de la nature dès un jeune âge… c’est un apprentissage grandiose de tout l’écosystème directement sur place - des moments privilégiés en famille – afin de développer leur bienveillance et le respect du vivant.

    Encourager les marches au quotidien en famille au lieu des écrans.

    Plus que jamais en ces temps historiques et ces changements sur la terre… qui tentent à nous amener à un certain éveil, afin de faire les meilleurs choix positifs possibles individuellement et collectivement… pour davantage de paix et harmonie intérieur et extérieur.

    Avec la préservation de ces espaces précieux verts, il n’y a aucun doute de prendre la meilleure décision.

    À travers d’innombrables doutes, d’oppositions ou de contradictions, quel soulagement d’avoir cette unique certitude que les boisés créent du positif à l’infini. On se sent enveloppé d’amour et d’énergies positives – des soins énergétiques accessibles et gratuits - et oui on revient en totale gratitude à chacune des fois que nous avons pris la décision d’aller nous promener dans une ambiance accueillante et chaleureuse, d’entendre les oiseaux…et de nous avoir laisser transporter d’émerveillement. Si on n’est pas en mesure d’y aller… de savoir que c’est là et accessible, fait une énorme différence. On doit le ressentir sur place pour être convaincue des bienfaits.

    Une fois découvert et ressenti pleinement, c’est alors une autre façon de vivre, car c’est une conviction que ce sont des petits endroits miracles qui aident à la guérison et la régénération. Plus que nous serons convaincus des bienfaits immenses en le ressentant nous-mêmes, plus les décisions seront toujours axées sur la protection de ces espaces de vie dans chaque quartier.

    Comme disait une dame dans un conseil d’arrondissement, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Elle l’a répétée plusieurs fois… Effectivement, jamais trop tard pour faire de bons choix plus positifs qui crée plus grand.

    Jamais trop tard pour prendre des décisions qui créent un impact majeur pour maintenant et pour le long terme. Et favorisons, les quartiers défavorisés encore plus pour une stabilité en ayant accès à ces lieux de verdure qui apaise, réduit l’anxiété, change les idées, qui émerveille et qui nous ressource… – tout en diminuant l’inflammation corporelle. On se sent recentré et revigoré à chaque fois…

    En allant maintenant dans les profondeurs du sols… les bienfaits des racines bien ancrées dans le sol de la terre, qui aident à bien stabiliser le sol, et par le fait même, vient également nous stabiliser, nous recentrer, nous ancrer, nous régénérer… Plus que jamais, on a besoin de laisser en place ces îlots de fraîcheur, cette verdure avec toutes ces racines au sol qui aident à la régénération. Couper les arbres, c’est couper aussi tous les bienfaits de ces racines.

    Le fait qu’on soit une île aussi, cette stabilité du sol est si importante. Des lieux de grande absorption des sols - par les merveilleuses racines qui sont souvent sous-estimées - qui empêchent les débordements suite à de fortes pluies, plus présentes face au dérèglement climatique. Stabilisons les sols…

    Et… marchons… encourager les marches santé dans ces espaces verts pour une intégration d’habitude saine, au lieu de la sédentarité et de l’obsession des écrans... ou encore cette tendance de se référer uniquement au médical pour aller mieux… quand on voit le système de santé avec des listes d’attente interminable… Quoi de mieux que de l’air pur…. dès maintenant… cet air… que nous prenons le temps de respirer et qui fait un grand bien à toutes les cellules de nos corps en toutes circonstances… C’est la meilleure thérapie au monde pour le retour au calme et à voir autrement positivement peu importe ce qui nous arrive. Ce sont des lieux de médecine naturelle, de soins énergétiques gratuits à proximité de chez soi. On sent tout de suite un grand apaisement instantané dès que l’on arrive à l’entrée des boisées. C’est un univers chaleureux avec tout l’écosystème et des centaines d’espèces d’oiseaux qui créent une magnifique ambiance. Un biodôme, un insectarium vivant devant nous… L’émerveillement diminue également l’inflammation corporelle. Plusieurs médecins recommandent des marches santé… et quoi de mieux pour créer une habitude santé…que de se promener dans ces campagnes en ville.

    Et oui on peut choisir de se rebâtir dans Hochelaga, sans avoir absolument recours au système médical dans ces lieux d’air pur qui aident à l’apaisement, le recentrage, la guérison et la régénération sans aucun doutes et bien sûr pour ce retour dans l’instant présent, le ici maintenant tel qu’il est… et oui on est alors mieux connecté à notre âme qui nous guide positivement tout en reprenant de l’énergie précieuse… quand pour la majorité des gens sont dans les tourbillons de vie… souvent dans le passé ou dans l’anticipation du futur qui nous enlève de cette précieuse énergie... Revenons au total présent.

    En prévention burn-out, dépression, suicide, alcoolisme, toxicomanie… violence physiques ou psychologiques… en prévention de tellement de choses… Ces lieux nous ramènent à l’unique moment présent qui apaise.

    Ces lieux de calme … dans notre merveilleuse friche dans Hochelaga… Des petits coins de paradis que plusieurs ont découvert pendant la pandémie. Des coins d’horizons, des coins de recentrage, de motivation et d’ancrage qui nous permettent de mieux rebondir dans nos quotidiens. Des lieux où on se connecte à notre âme puisqu’on revient dans notre total ici maintenant à chacune des marches en nature. Oui, je me répète, et désolée des redondances… mais ce sont des endroits de guérison et de régénération, ce qui semble sous-estimé... J’y crois profondément puisque ce petit espace précieux a transformé ma vie car c’est un repère positif aux énergies positives sans aucun doute et qui m’aide à naviguer avec plus de douceur à travers des situations stressantes ou encore des arc-en-ciel d’émotions. Se ressourcer dans ces ambiances uniques est inestimable… Sans attendre les vacances ou le weekend… inciter des repos et des pauses, en alternances dans nos quotidiens pour le maintien santé-travail… sans avoir besoin de sortir de la ville pour ressentir les bienfaits d’un ailleurs plus calme... Maintenant, des lieux touristiques de marches en nature sont si achalandés… vivement nos espaces plus calmes dans chacun de nos quartiers pour une compensation de nature en ville… le meilleur des 2 mondes.

    Nous maintenons cette demande pour la zone tampon demandé – la friche en entier incluant la fameuse butte… que je surnomme le mont Starfox, en hommage à la première sculpture de l’artiste Junko – le Starfox qui avait été une merveilleuse surprise et emblème d’espoir du haut de la fameuse butte de la friche. Ensuite il y a eu Forest Spirit, du même artiste, un grand retour en force pour inspirer la protection du vivant et la sauvegarde de ce lieu unique.

    Du haut du mont Starfox, ce serait un petit rêve de revoir Forest Spirit qui reprend sa place initiale pour cette création de zone tampon officielle qui mérite d’exister en compensation des nuisances visibles et invisibles que les citoyens subissent depuis trop longtemps. Plus que jamais, on a besoin de stabiliser les sols… qui vibrent davantage depuis 2021 et oui lorsqu’il y avait davantage d’arbres, le sol était définitivement plus stable… j’habite dans un sous-sol sur la rue viau, entre Fontaine et Ontario, depuis 2008… c’était relativement paisible et sans vibrations… mais depuis 2021, je ressens des vibrations plus accentuées et on entend des grondements… On tolère car ce sont nos habitats choisis dans ce quartier et que nous voulons rester à proximité de notre campagne en ville qui fait partie intégrante de nos quotidiens. Jusqu’où sont les limites acceptables face aux nuisances ? Cette étude d’impact qui n’a jamais été fait donne effectivement mal au cœur car on subit les nuisances et ce sont nos habitats et notre santé. Les décideurs sont souvent détachés de ce qu’on vit au quotidien, même nos proches ont leur propre réalité et peuvent être détachés car ils ne sont pas affectés dans leur propre quotidien. Et non d’aller vivre ailleurs, n’est pas une solution envisageable… y aurait-il des compensations financières pour ces nuisances visibles et invisibles pour tous ? à défaut d’une zone tampon suffisamment grande et plus viable pour éventuellement stabiliser davantage les sols avec notre campagne en ville qui grandit? On veut rester dans notre quartier qui choisi en compensation la spirale positive verte avec des créations de zones tampons plus grandes selon l’ampleur des projets et l’ampleur des nuisances.

    De créer cette zone tampon à partir du mont Starfox et en laissant grandir telle quelle notre campagne en ville qui se régénère d’elle-même… je garde espoir que le sol soit plus stabilisé au fil des ans. Que les vibrations puissent diminuer et cesser éventuellement. Comme plusieurs citoyens, on a ce besoin de nature en ville et ce qui nous retient dans Hochelaga c’est souvent le coup de cœur de cette campagne en ville car on reçoit des énergies précieuses à chaque visite de la friche. Cet endroit fait partie intégrante de nos quotidiens.

    Également du haut de ce mont Starfox, on y voit l’horizon avec des ciels à couper le souffle. Un paysage fantastique qui mélange le style urbain et la verdure. C’est un des meilleurs observatoires de la ville, on y voir nos pyramides à nous, le stade, nos cheminées… le centre-ville au loin et tout l’art urbain. On y voit également de merveilleux couchées de soleil qui créent toujours plus grand.

    On y voit également un bunker créatif, entouré de graffitis… un petit coin avec un grand potentiel culturel, étant un endroit à l’abri du vent. Certains artistes étaient déjà venus offrir un spectacle… en se pratiquant eux-mêmes pour ces jams de feux sécuritaires.

    Quelle chance que cette friche est un endroit favoris pour plusieurs artistes, étant un lieu calme, libre, vague, plein d’horizon et qui favorise la création positive…

    On a également le merveilleux souvenir d’un immense signe de paix fait avec mille origamis… qui avait donné de l’espoir au gens. On a tous besoin de ses lieux de paix positifs aux potentiels infinis.

    Un autre rêve qui pourrait devenir réalité. Un accès à l’eau… faire revenir le ruisseau qui était jadis dans la friche. Rêvons grand et visualisons grand. Un accès au fleuve… même si ce n’est pas un espace d’accès très grand, juste de voir l’horizon au large et que les citoyens de chaque quartier puisse avoir un accès à l’eau… on est avant tout une île… et oui on mérite l’accès à l’eau dans chaque quartier… pour une ville extraordinaire où il fait bon y vivre dans nos quotidiens. Qu’est-ce que ça prendrait ? Des rêves individuels… Des rêves collectifs pour plus d’amour, de bienveillance, de paix et d’harmonie.

    Mille mercis de votre patience pour m’avoir lu jusqu’à la fin… malgré la longueur du texte et des répétitions.

    Qu’est-ce que ça prendrait pour sauver le vivant à tout prix, sans conditions.




  9. Marie-Claude Du Perron
    Pour transformer l'espace urbain en environnement plus sain et plus vert, la ville doit d'abord « responsabiliser » davantage les émetteurs des nuisances. Les entreprises et les industries devraient minimalement mesurer leurs nuisances : bruit, poussières, lumière et fournir ces données à la population, de façon transparente, en temps réel.
    En plus de mettre en place des moyens efficaces pour faciliter la cohabitation, ces entreprises et industries devraient aussi compenser obligatoirement les restrictions des accès aux biens communs qu'elles imposent aux riverains des quartiers qu'elles occupent (en particulier les activités portuaires et de transport). Elles doivent prendre des moyens tangibles pour minimiser l'impact de leurs activités sur la biodiversité et sur les ilots de chaleur.
    Le principe d'imputabilité des nuisances doit s'appliquer inconditionnellement afin d'équilibrer les rapports de force indissociables de la notion d'équité que la vision du PUM 2050 propose. Sinon, c'est toujours « le droit du plus fort » qui s'applique comme l'a démontré la saga de Ray-Mont Logistique dans MHM. Malgré une forte opposition de la population, des comités consultatifs et un cadre normatif, un pollueur réussit à s'implanter sans tenir compte de l'externalité des coûts sur la santé, la sécurité et la qualité de vie de la population.
    Ces menaces à la vitalité des quartiers doivent être contraintes par des règles strictes, surveillées par la ville et dont le défaut entrainerait des conséquences punitives. De la même manière, les nuisances ponctuelles provenant de la voirie, de la circulation routière ou de travaux temporaires, de bâtiments ou de terrains laissés à l'abandon doivent être mesurées et encadrées plus fermement.
    À contrario, la ville doit récompenser les bonnes pratiques des entreprises qui prennent leurs responsabilités et contribuent à l'amélioration des milieux de vie. Mettre en valeur les bons citoyens corporatifs est une forme de reconnaissance qui vise aussi à encourager l'économie locale et circulaire.
    Finalement, l'équité des populations implique des investissements supplémentaires pour soutenir les groupes plus vulnérables: personnes âgées, sans abris, ayant un handicap ou un problème de santé mental, particulièrement dans les quartiers plus défavorisés. Ces personnes doivent avoir accès à des ressources ainsi qu'à tous les services de la ville, en pleine égalité. On doit encourager les initiatives qui visent leur protection, une meilleure santé globale et leur intégration dans le tissu social. Montréal est une ville d'une beauté exceptionnelle qui laisse malheureusement, les nuisances liées au secteur économique l'enlaidir et affaiblir sa population plus vulnérable.
  10. Jody Negley
    Les personnes en situation de handicap sont encore invisibles dans la Vision 2050 de la Ville.

    Elle se déclare une ville accessible mais c'est en lien avec la mobilité et les coûts et non pas les besoins d'accessibilité et d'inclusion des PSH ou des personnes aînés.es...

    Une ville accessible et inclusive doit:

    Reconnaître que la discrimination fondée sur le handicap est une violation des droits fondamentaux et mettre en place des mesures robustes, structurantes et transversales pour la combattre dans une optique intersectionnelle, notamment un bureau de l’accessibilité universelle et de la lutte au capacitisme, analogue à celui de la commissaire à la lutte au racisme et aux discriminations systémiques, qui relève de la direction générale;

    Incorporer les enjeux transversaux de l’accessibilité universelle et du capacitisme dans l’appareil municipal et veiller à la cohérence et à la complémentarité de l’ensemble des interventions en la matière. Pour refléter cet engagement, ajouter notamment une rubrique « Accessibilité universelle » dans tous les sommaires décisionnels afin que cet enjeu soit pris en compte dans toutes les décisions des instances de la Ville;

    Rendre les communications de la Ville accessibles à l'ensemble de la population, notamment en employant des interprètes en LSQ lors des séances des instances de la Ville, des annonces, des conférences de presse et des autres événements publics. Veiller à ce que des citoyen·ne·s en situation de handicap soient inclus·e·s dans les communications de la Ville comportant des photos de citoyen·ne·s ou des illustrations;

    Accélérer la mise en accessibilité du réseau de transport collectif. Offrir la gratuité aux personnes en situation de handicap pour compenser le manque d’accès. Reconnaître le transport adapté comme composante à part entière du réseau et améliorer son efficacité de façon à offrir la réservation le jour même, à la hauteur des besoins réels;

    Faire de l’accessibilité un critère d’approbation obligatoire des projets de construction et de rénovation commerciales et lier l’octroi de subventions à des obligations réglementaires d’accessibilité universelle;

    S’assurer que toute construction ou rénovation de logements financés par des fonds publics respecte les principes du design universel afin de fournir des logements adaptables ou accessibles à toutes les personnes qui en ont besoin, là où elles le souhaitent. Incorporer le design universel comme principe fondamental dans le règlement pour une métropole mixte;

    Offrir un service de déneigement d’appoint aux personnes à mobilité réduite en y affectant des ressources humaines et financières adéquates, à la hauteur des besoins réels, sur tout le territoire;

    En collaboration avec les SDC, les PME et le public, mettre en ligne une cartographie exhaustive des commerces et services accessibles. Offrir un service de livraison gratuit pour les personnes handicapées afin de compenser le manque d'accès;


  11. Marie-Claude Alary
    25 ans c'est long, mais ce n'est pas si long en même temps. Il faut juste penser au nombre d'années qu'il a pris avant que l'extension de la ligne de métro Bleu prenne forme pour le réaliser.

    Je crois qu'il faut être prudent pour élaborer un plan réaliste où il serait préférable de se fixer de plus petites cibles et de les atteindre que de vouloir voir trop grand et de rater les cibles.

    Je crois que le PUM2050 est extrêmement ambitieux et qu'il faudrait valider la capacité à le réaliser en fixant des objectifs concrets et atteignables dans les délais établis.
  12. Pierre Chênel
    Merci pour votre travail pour le PUM qui présente une vision ambitieuse répondant aux enjeux du développement durable aussi bien sur le plan environnemental que social.

    J'ajouterai néanmoins une cible de réduction de réduction du nombre de voitures immatriculées dans l'agglomération de Montréal dans la vision.

    Également, dans une mesure d'équité sociale, je pense qu'il devrait y également y avoir une cible de répartition des infrastructures de transports en commun et de mobilité active à travers la ville. Présentement, il est difficile de se rendre à certains endroits en transports en commun ou en vélo à l'est et l'ouest de l'île.

    Le PUM devrait également avoir un objectif de couverture de canopée par quartier ainsi qu'un objectif de végétalisation ou de blanchissement des toits par quartier également pour lutter contre les îlots de chaleur.
  13. Rolande Binette
    Je suis une résidente de l’est de Montréal, près du métro Honoré-Beaugrand, depuis plus de 50 ans. Je suis aussi une grande utilisatrice du transport en commun. Je suis préoccupée au sujet du dossier du transport en commun dans l’est de Montréal et je me suis impliqué dans ce dossier que je connais relativement bien. Je suis très déçue des dernières propositions de l'ARTM et je viens d'entendre parler de l'analyse de Vivre en Ville. Enfin un projet qui est représentatif de mon opinion. Je me questionne sur les avantages de faire passer un tramway sur la rue Sherbrooke entre Honoré-Beaugrand en allant vers l’ouest, alors que le métro fait déjà ce trajet. Que ce tramway passe plutôt où il n’y a pas de service, sur Hochelaga, Souligny ou Notre-Dame par exemple. Cela aiderait à revitaliser d’autres rues et les résidents du sud n’auront pas à tous aller vers le rue Sherbrooke. Pourquoi tout doit aller sur la rue Sherbrooke qui est déjà congestionnée et où le métro passe déjà?
    Le projet de Vivre en ville et, ainsi que l’analyse de M Chitti sont les plus pertinents que j’ai entendu dans les dernières années. L’analyse de l’ARTM et ses nouvelles propositions protègent-il quelque gros organisme? C’est à se questionner, car pour les usagers, il n’y a rien d’intéressant là-dedans. Vivre en ville qui recommande le prolongement du métro lignes bleue et verte, qui se rejoindraient vers Pointe aux Trembles, avec pour ma part la présence d’un grand stationnement incitatif, ça c’est la logique et la meilleure option pour les gens de l’est. Les étudiants de l’université de Montréal qui demeurent dans l’est seraient eux aussi gagnant par cette proposition.
    Le tramway NE POURRA JAMAIS ÊTRE PLUS RAPIDE QU’UN MÉTRO, c’est IMPOSSIBLE. Un tramway ou des autobus rapides sur la rue Sherbrooke vers l’est comme il y a présentement, c’est assez similaire. Et le coût des autobus, ce n’est pas des milliards de dollars. Et le pourtour de la station Honoré-Beaugrand, tout comme celle de Radisson, sont dans un secteur résidentiel et ils ont besoin d’être décongestionnés. La rue Sherbrooke à l’ouest de Honoré Beaugrand a besoin d’être décongestionné, et si le tramway passe plus au sud, cela aidera.

    Lisez donc attentivement la proposition de Vivre en ville :
    https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgzQXJGqJVqDKzKcWxqrfMDjFwtlb?projector=1&messagePartId=0.1

    Revenez vite à la raison et mettez la proposition de Vivre en ville de l’avant.
    Consultez donc la population pour voir ce que les gens en pensent, entre la proposition de l’ARTM et celle de Vivre en ville. Vous verrez quelle proposition sera la préférée.