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Quartier Namur-Hippodrome

Commentaires en ligne - Milieu de vie

  1. Michèle Meunier
    Le quartier pourrait s’articuler autour d’une école primaire et secondaire faite de petits pavillons a échelle humaine ( pas une mega structure qui a la population d’un petit village
    2500 personnes!) qui deviendrait centrale : gymnases plus grands et accessibles toute l’annee, bibliotheque, popote roulante/ traiteur ecoliers, grande cour ouverte a l’annee et supervisee comme un parc municipal.

    Les habitations, des tours interessantes architecturalement, avec murs verts et agriculture integree - pas d’unifamiliales!) autour seraient disposees En cercle (eviter les lignes droites qui encouragent la vitesse) de maniere a ce que la circulation automobile soit ralentie et partage avec les pietons : pas de trottoirs forcant ainsi les automobilistes a aller tout doux (et les cyclistes aussi).

    Sentiers raccourcis pour les pietons.

    Pour densifier, des logements pourraient etre construits aux etages superieurs de l’ecole. Prevoir deux entrees distinctes!

    Prevoir des aires d’arrets pour les camions de livraison,
    et des aires pour empiler la neige et faire des buttes pour glisser au lieu de la transporter .

    Favoriser mixite des ages


  2. Andrée Robillard
    Dans ce secteur, il manque de rue piétonnière et de commerces de proximité. C’est vraiment déplaisant de vivre non loin dans le Triangle, à la merci du Wall Mart et des fast food, le quartier le plus laid et sale de Montréal. Vite une épicerie ou un marché de qualité même si des logements abordables svp.
  3. Michel Tran
    Logements réguliers
    Maximisez le nombre delogements standard non hlm pour générer plus revenu
  4. Diane Sicotte
    À tout le monde! Bâtisses d’appartements de 36 à 48 unités variant de 500 pc à 1,100 pc donc une à trois chambres à couchers avec possibilité de stationnement d’environ une place sur deux, pas plus de 6 étages, et seront vendus en tant que copropriété divise et les acquéreurs pourront les mettre en location.

    Bloc de 6 maisons attachées de 3 étages avec stationnement intérieur, 1,800 pc. L’arrière du bloc serait une ruelle verte.

    Bloc de 6 maisons attachées de 2 étages dont avec stationnement extérieur. Pas de voitures donc possibilité de faire un jardin.

    Afin d’obtenir un lieu résidentiel abordable, la Ville de Montréal devrait être le « promoteur » ce qui éviterait des prix exorbitants surtout pour les familles qui désirent s’établir à Montréal et dont nous savons très bien qu’il est très difficile de trouver une résidence à prix raisonnable. La ville serait acquéreur des bâtisses d’appartements dont les unités sont en location. Et par la suite, la Ville pourra les revendre à un acquéreur qui aura à respecter les loyers et non transformable en unité de condominium.
  5. Muller Garnier
    BONJOUR,
    Est ce que il y a un espace réservé pour l'activité physique et sport (4 saisons) dans le projet?

    (Si oui, comment le consulter?)

    Merci
  6. François Latreille
    Le site pourrait déservir une clientèle qui a beaucoup d'argent. Mais il faut prioriser les familles à faible revenu. Le site est coincé entre des quartiers riches et de quartiers plus pauvres. Il faudrait des aménagements et du développement immobilier socialement ergonomiques. Diminuez les coûts du développement en imaginant à long terme, de façon durable, qu'est-ce qui peut servir à tout le monde, peu importe le statut économique. Il y a longtemps que la communauté de CDN se bat pour avoir plus de logement social, soyons généreux sur ce point, il faut résister à la crise du logement.
  7. Genevieve Cousineau
    Les logements devraient s’adresser à tous pour en faire un vrai quartier montréalais, pour tous les types de revenus. Il y faut des familles, Y compris des nouveaux arrivants et des anciens banlieusards. Ne pas oublier les ressources intermédiaires innovantes pour les personnes handicapées, les autistes et les déficients intellectuels. Il faut des services pour ces populations. Prévoir de l’espace pour les associations communautaires et les OSBL (manque flagrant d’espaces de ce type à NDG!).

    Les services à la population devraient en priorité avoir pignon sur rue et être accessibles du trottoir.

    Prévoir espaces extérieurs pour différents types de sports, y compris un parc de bonne dimension avec tables de pique nique et endroits pour être dehors.

    S’assurer que les maisons aient des jardins et qu’on puisse y faire pousser des fruits et des légumes. Prévoir un verger communautaire.

    Penser aux abeilles, aux papillons et aux insectes.

    Prévoir terrasses pour les restaurants et cafés.
  8. Eric Potvin
    Le nombre de citoyens qui habiteront ce secteur justifie amplement la construction d'une bibliothèque et d'une maison de la culture. La desserte sera suffisamment grande pour ces deux types d'équipement. Ce sont des lieux culturels de proximité. Un lieu pour la pratique artistique amateur et le loisir culturel serait aussi nécessaire.
    De plus, un certains pourcentage de logements pourraient être réservés pour des ateliers d'artistes professionnels.
    Une grande place devrait être faite à l'art public, des oeuvres, des installations temporaires, etc.
    Le niveau de design et d'architecture devra être élevé. On veut du beau. Laisser la place à des architectes de la relève.
    Pourquoi ne pas laissé une place aux mini-maisons ?
    Si on créé des équipements pour les artistes professionnels comme des studios de résidence de création, il doit avoir un grande proximité avec le métro.
  9. Jean-Maxime Archambault
    Afin de répondre à la crise de logement qui a cours présentement à Montréal, selon moi le quartier doit inclure au moins 50 à 60 % de logements locatifs abordables et à but non lucratif, soit des logements sociaux et communautaires. Au moins 20 % de ces logements devraient comporter 3 chambres à coucher. Les ménages à revenu faible et moyen habitant déjà l'arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce devraient avoir la priorité sur les logements sociaux et communautaires.

    Le quartier devrait inclure une place centrale où se regroupent les commerces et services de proximité, des espaces de travail (bureaux) et une école primaire et secondaire. Ils devraient être situés au centre du projet et non pas à l'une de ses extrémités afin de favoriser l'accessibilité des commerces et services à pied. À partir de cette place centrale, des bus électriques pourraient partir à toutes les 5-10 minutes vers le métro Namur.

    La zone commerciale en bordure du boulevard Décarie doit être requalifiée avec le temps pour devenir une extension du quartier, soit une zone commerciale et résidentielle. La trame de rue de cette zone une fois requalifiée doit s'intégrer avec celle du quartier qui devrait être orthogonale.
  10. Laurent Levesque
    Avis de l'UTILE | utile.org

    L’arrondissement où se situe le site est celui où l’on retrouve la plus forte concentration étudiante à Montréal : 18,5% des locataires universitaires y résident, soit autant que sur le Plateau-Mont-Royal. Ce nombre ne comprend pas les étudiants collégiaux ni ceux qui restent chez leurs parents, et permet d’estimer que les étudiants locataires constituent 18% des locataires de l’arrondissement, ou 13% de ses résidents totaux.

    Considérant l’importance de la présence universitaire dans l’arrondissement, il semble donc essentiel qu’un “véritable quartier mixte et exemplaire” fasse une place pour la population étudiante. Ceci est particulièrement vrai alors qu’une crise du logement frappe de plein fouet les 120 000 locataires étudiants de Montréal, qui vivent principalement dans les arrondissements centraux, et alors que l’hippodrome est “le dernier terrain vacant d'une telle ampleur parmi les secteurs centraux de Montréal.” (sommaire décisionnel)

    Dans les 6000 logements prévus, nous pouvons déjà attendre un bras de fer entre le logement social et le logement privé. Cette dynamique exclut d’emblée près de 20% des locataires de l’arrondissement, car la population étudiante est exclue du logement social et ne peut se payer des logements au prix du marché.

    Pour s’assurer que ce secteur représente la mixité de l’arrondissement avoisinant (13% d’étudiants), il faudrait donc qu’environ 800 logements étudiants y soient construits. L’UTILE recommande d’inclure cet objectif dans la portion de logement “abordable” prévue sur le site, et peut autofinancer leur développement si des terrains sont cédés par la Ville sous leur valeur marchande.
  11. Jean-François Boisvert
    En raison de la spéculation immobilière, les logements sont de moins en moins accessibles pour les gens moins aisés et pour les familles. Afin d'assurer l'accessibilité, les logements devraient être des coopératives et/ou propriétés de fiducies foncières. En retirant les immeubles du marché, on les met à l'abri de la spéculation et on peut ainsi assurer qu'ils demeureront abordables.
  12. kenneth morales
    les abitacions devraient etre favorables aux personnes agées aux handicaps aux meres monoparentales et aux travailleurs à revenue faible priorisant les familles arevenue faible.
    ils devraient etre deservis par autobus, piste cyclable, trotoires, parcs.

    le carré comercial devrait avoir plus d epiceries, pharmacies, cliniques,bibliotechs et commerces incitant un bon mode de vie sain
  13. William Blaney
    La FAÉCUM (Fédération des associations étudiantes du campus de l’Université de Montréal) souhaiterait que la construction de logements étudiants fasse partie des objectifs du projet de quartier Namur-Hippodrome.

    Plusieurs études prouvent que les étudiants et étudiantes représentent une population aux conditions de vie particulièrement précaires qui consacre une proportion anormalement élevée de ses revenus au logement.

    De plus, il s’agit de la cible idéale pour un projet axé sur le transport actif et collectif. En effet, une proportion significative de la population étudiante se déplace en transport en commun, ce projet situé à un jet de pierre d’un métro répondrait donc particulièrement bien aux besoins de cette clientèle.

    Enfin, toutes les universités montréalaises, et de nombreux collèges, se trouvent proches de stations de la ligne bleue ou de la ligne orange. Le projet se situant à la station Namur, à trois arrêts de la station Snowdon qui est au carrefour de ces deux lignes, son emplacement est idéal et permettrait aux étudiants et étudiantes d’accéder rapidement à leur lieu d’étude, peu importe celui qu'elles ou ils fréquentent.

    Avec ce nouveau quartier, la Ville de Montréal peut démontrer qu’elle est à la hauteur de sa renommée mondiale en tant que ville étudiante. Dans un esprit d’équité intergénérationnelle, la FAÉCUM aimerait devenir un partenaire dans l’élaboration de ce projet.

    Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

    William Blaney
    Coordinateur aux affaires externes
    Fédération des associations du campus de l’Université de Montréal