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Campus de la montagne de l'Université de Montréal

Commentaires en ligne - Autres opinions

  1. Grégory Taillon
    Alors que le crédit est donné aux photographes, aux artistes, aux concepteurs des plans directeurs antérieurs et aux designers du mobilier urbain, aucun crédit n'est donné aux architectes ayant conçu les pavillons qui forment le campus.

    En plus d'être une marque de respect pour le travail des architectes, donner le crédit sensibilise tous ceux qui consultent ou utilisent le Plan directeur à l'importance de l'architecture.

    Dans une université qui offre un programme en architecture, donner le crédit aux architectes doit être un automatisme dans tous les documents émis, sans exception.

    Le plus simple serait d'ajouter cette information aux fiches de la section 6.12
  2. Marie-Josée Vaillancourt
    La planification territoriale des oeuvre d'art public sur le campus (de la collection de l'université, mais aussi des autres oeuvres insérées sur le territoire). Cela devrait être planifié et mis en valeurs à l'échelle du plan directeur. Cette vision concertée serait bénéfique pour l'Université de Montréal, les résidents et les Montréalais.es.

    Des exemples inspirants:

    1. De multiples exemples de planification territoriale de l’art public existent d’ailleurs, par exemple, aux États-Unis, le Santa Rosa Public Art Master Plan [Californie] (2017), le Pasadena Public Art Master Plan [Californie] (2013) et le Public Art, Public Places: A Public Art Masterplan for Arlington [Virginie] (2004). En voici d’autres, cette fois en provenance du Canada : le City of Mississauga Public Art Master Plan [Ontario] (2016), le Calgary’s Public Art Master Plan [Alberta] (2015), le Kingston Public Art Master Plan [Ontario] (2014) et le Edmonton Public Art Map [Alberta] (2008). Ex.: Public art Master Plan de Calgary: https://www.calgary.ca/csps/recreation/public-art/public-art-master-plan.htmlm.

    2. Autres outils de planification urbaine et démocratique de l’art public
    1. Ex.: Embellir Paris (participatif et réparti sur le territoire): https://www.embellir.paris/fr/calendrier/ 
    2. Ex.: Budget participatif: https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/jsp/site/Portal.jsp?document_id=2108&portlet_id=158. L’art public fait partie de la planification urbaine.

    3. Pour en savoir plus: La «muséographie municipale»: De la simple collection à une vision territoriale intégrée, Urbanité, hiver 2019, pp. 36- 37.
  3. Vincent Cameron Trudel
    Bonjour, il serait très important d'essayer de développer une collaboration et des ententes avec le cimetière du mont Royal. Le cimetière lie ensemble Outremont, Westmount, le campus sur la montagne, le mont Royal, le centre-ville (Ville-Marie), le Plateau, Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce.

    Le propriétaire du cimetière est un acteur qui pourrait jouer un rôle majeur au niveau de la perméabilité et la connectivité urbaine. Serait-il possible d'y développer :
    - Des sentiers marqués afin d'orienter le plus efficacement possible les gens en transit par le site?
    - Un réseau cyclable respectant l'esprit de recueillement qui y prend place?
    - De nouveaux portails créés, notamment derrière l'UdeM, campus sur la montagne.
    - Si on veut être créatif, on pourrait même créer une passerelle aérienne passant par-dessus la voie Camilien-Houde (dans le tournant), reliant le cimetière au "Mt Royal Summit"?

    Tranquillement, le rôle de cet acteur, de ces types de sites, voient leur rôle remis en question par les changements de croyances et de pratique culturelles. Il est important de l'identifier comme une présente et future opportunité pour l'expansion du domaine naturel et public, qui sera davantage ancré à la culture montréalaise (ce qu'il est déjà pour les cyclistes et en moindre mesure pour les marcheurs).
  4. Benoit Meilleur
    À l'occasion de la consultation publique pour le campus de la montagne de l’U de M, je tiens à appuyer les propositions de M. Pierre Marcoux exprimées dans son mémoire déposé à l'OPCM.
    Je crois que le nouvel aménagement du campus doit inclure des sentiers de ski de fond et d'un comptoir de prêt d'équipement afin de faire connaître cette activité à un plus grand nombre de gens, spécialement parmi les étudiants et les visiteurs étrangers. La présence d'une pente-école (l'ancienne piste de ski alpin) est aussi un atout unique. Cet ajout me semble tout à fait complémentaire à la mission d'enseignement en favorisant la santé physique et mentale dans son entourage.
    Ce centre offrirait l'opportunité d'élargir le parcours skiable au nord du Mont-Royal et de rendre la pratique plus accessible aux résidents environnants.

    Ceci permettrait de valoriser une saison mal aimée dans une ville pourtant bien nordique!
    Merci de cette opportunité de réflexion élargie.
    Benoit Meilleur, président
    Naturafond Inc.
    Club récréatif de ski de fond et de raquette
    naturafond.ca
  5. Ricardo Izquierdo
    On m'a fait part de la proposition d'un projet de centre de ski de fond sur le campus de l'université de Montréal. Je voudrait et je voudrais appuyer cette proposition. Montréal est une ville ou l'hiver est une réalité importante et le Mont-Royal un site exceptionnel pour la pratique des activités hivernales et en particulier du ski de fond. En créant un centre de ski de fond directement sur le campus et en le reliant aux autres sentiers déjà présents sur la montagne on créerait un site unique pour mettre en valeur cette activité très bénéfique pour la santé et le bien être. La clientèle étudiante de l'université de Montréal est en plein dans la tranche d'âge qui peut le plus apprécier cette activité et le plus en bénéficier à long terme puisque s'ils conservent le gout de cet activité l'impacte sur leur bonne santé future sera importante. De plu ce centre peut être intégré avec les activités sportives du Cepsum et viser aussi les étudiants qui visent le sport de performance.