Assomption sud – Longue-Pointe
Commentaires en ligne - Espaces verts et écosystèmes
- Gilles GagnonBonjour, j'utilise le vélo comme moyen de transport et le segment de la soi-disant piste cyclable de la rue Notre-Dame entre les rues Viau et Cadillac est le pire de tout le réseau à Montréal. Devoir le traverser est une expérience traumatisante. La seule façon d'y atténuer les pics de pollution et de chaleur qu'on ressent lors des canicules estivales de plus en plus fréquentes serait de l'inscrire dans un processus de végétalisation de tout le secteur. En ce sens, j'appuie le mémoire de La Coalition Sauvons le ruisseau Molson et Les AmiEs du parc-nature Ruisseau-de-la-Grande-Prairie. Merci.
- Annick GaudreaultJe trouve fondamental que les boisés existants (avec ceux au nord) soient préservés et valorisés sous la forme de grand parc. J'imagine un mélange de forêt, de jardins mellifères, pistes cyclables, randonnées pédestres, aires de détente, points de vues.
Le projet de Parc-nature de la coalition «Sauvons le ruisseau Molson» me semble le projet parfait puisqu'il sert à créer un corridor vert tellement important pour la préservation de la biodiversité et le voyagement des animaux entre les régions du Québec. Tout est presque déjà en place, c'est un projet qui va de soit. Il réduirait les îlots de chaleur, augmenterait la qualité de vie dans l’est, serait un magnifique projet collectif, améliorerait la santé des personnes, donnerait un accès à la nature aux citoyens et serait un tampon entre les zones résidentielles et industrielles à venir. Je souhaite de tout coeur que cette zone ne soit pas touchée. Il est possible de faire coexister les deux. Je suis résidente d'Hochelaga-Maisonneuve et je mets beaucoup de coeur et de temps dans des projets collectifs de verdissements et pour l'environnement dans le quartier, à plus petite échelle (ruelle verte, carrés d'arbres, jardins communautaires, nombreuses corvées, etc...).
J'aimerais que l'administration donne un grand coup de barre. Un geste vraiment significatif. Il n'est plus l'heure (ça ne l'a jamais été...) de raser ce qui existe: il faut conserver la canopée actuelle et planter un maximum de nouveaux végétaux, si on est sincère. Quelque chose qui fasse rêver, une démonstration que les dérèglements climatiques sont pris au sérieux, un agissement en ce sens pour le respect du vivant, dont nous faisons partie. S'occuper du vivant c'est non seulement s'occuper de nous, mais faire une belle preuve de l'humilité, de la bienveillance et de la bonté humaine. - Charles-Antoine MétivierJ'aimerais voir la ville adopter un différent plan d'urbanisme pour ce secteur.
J'aimerais voir des rues avec moins de place de stationnement, et plus verdure.
Les rues pourraient être plus étroites, pour laisser de la place à des voies cyclables, des bus, et des stations de bixis, et il pourrait y avoir de petits stationnement incitatifs à quelques endroits où les résidents pourraient y garer leur voiture (genre de petit stationnement de quelques étages de haut (2 ou 3)
Il ne faut pas oublier que la gestion des routes (entretient, neige) ça coûte cher, ça prend du temps et beaucoup de place. Plus il y a de surface bétonnées, plus il y a d'ilots de chaleur.
Pourquoi ne pas tout simplement réduire la place de la voiture dans le paysage montréalais en enlevant simplement les espaces où elles tendent à s'accumuler inutilement?
- Catherine Ouellet-CummingsLe projet expliqué ici https://ruisseaumolson.files.wordpress.com/2018/06/180427_prc3a9sentation_jh.pdf?fbclid=IwAR3Blgwv7IlhnffeDNDBikNK1pfCZQxb9oRYcYrZVfkkhwJFpRCLQsijFdI répond tout à fait à mes préoccupations et à mes attentes pour ce secteur. Montréal devrait faire tout ce qu'il est possible pour créer des corridor verts, synonymes de qualité de vie pour les citoyens, de points d'intérêt pour les touristes et de protection de l'environnement. Le projet tel qu'il est décrit dans le lien plus haut préserverait la biodiversité déjà présente sur le site et pourrait même l'améliorer, contribuerait à la réduction des îlots de chaleur et servirait d'espace tampon entre les zones résidentielles et industrielles, ce qui serait une grosse amélioration pour la qualité de vie des citoyens au quotidien. L'accès à la nature permet, quant à lui, une amélioration non-négligeable de la santé des citoyens.
- Anahi KerbaolIl faut garder les boisées existant et les relier par un corridor vert afin de les connecter. Et avoir des sentier pour se promener dans les boisées. On a besoin de verdure pour diminuer notre stress occassioner par les voitures les camions et les bruits du port. Et nous avons besoin des arbres pour diminuer la pollution de l'air et offrir une meilleur qualité de vie à nos enfants qui manquent d acces a la nature. Il faut donc augmenter la canope en augmentant la quantité d arbre mature.
- Wilson HenleyConcernant le boisé Steinberg et la rivière Molson situé entre la rue Hochelaga et Dickson.
La diversité florale et faunale de celieu est telle qu'elle mériteraient d'être explorée et observée. Il s'y trouve des espèces d'oiseaux impossible à trouver sur tout le reste de l'île.
C'est quelque chose à penser. - Martine FrancoeurHabitant le quartier Notre-Dame-des-victoires depuis....40 ans, j'ai été témoin de plusieurs améliorations au niveau commercial. Mais il y a toujours place à l'amélioration au niveau écologique...
Le quartier manque cruellement d'espaces verts ou plutôt, ces espaces verts sont mal gérés. Monsieur François Plourde explique parfaitement ce que pourrait devenir le quartier en offrant une deuxième vie au ruisseau Molson.
Un lien entre Notre-Dame-des-Victoires et Guybourg. Un lien vert.
La végétation est là ! Il ne reste qu'à lui donner l'opportunité de servir aux citoyens du quartier. Permettre un endroit de détente, la campagne au milieu de la ville.
Le quartier est rempli d'histoire. Rempli d'arbres matures, de sentiers praticables mais complètement abandonnés par la ville. Les projets proposés par monsieur Plourde font rêver.
Ils me font rêver moi, de NDV et font rêver mes parents, de Guybourg.
Oui, permettre au quartier de se développer au niveau commercial est important. Guybourg manque cruellement de commerces et devient tranquillement un quartier fantôme. Il n'est pas aisé de s'y déplacer à pied (les citoyens devant obligatoirement emprunter le viaduc de la rue Cadillac, une marche considérable et esthétiquement discutable...)
Monsieur Plourde offre l'idée génial de faire revivre ce territoire un peu mal-aimé vu sa situation géographique rapprochée de la rue Notre-Dame.
Et nous, habitants de NDV/Guybourg ne pouvons être plus enthousiastes à voir enfin nos quartiers devenir un endroit où il fait bon vivre. Tant au niveau commercial qu'écologique. - Daniel VanierExaminez la possibilité de créer un espace vert privé (genre de jardin de plantes) pour le parterre de l'ancienne Johnson et Johnson accessible a la population.;
La base de Longue Pointe fait un effort en termes de verdissement et d'accroissement de la canopée. Je suggère un aménagement paysager substantiel aux abords de leur musée avec une aire de détente. Il y aurait l'intégration d'un monument rendant un hommage aux soldats canadiens français (québécois) pour leur contribution aux différents conflits armés notamment la grande guerre, la seconde guerre mondiale, la guerre de Corée et les missions de paix et civils (inondations).
Dernière proposition, toutes nouvelles construction d' installations industrielles devra être accompagnées d'un plan d'aménagement paysager qui devra obtenir d'une autorisation de l'arrondissement MHM.
Finalement, la création du Parc Nature du Ruisseau de la Grande-Prairie est une nécessité.
Daniel Vanier.
Résident d'Hochelaga-Maisonneuve - Pascal GaudetteLa présentation du projet de la ville était très décevante, avec entre autres :
- la destruction de boisés existants;
- aucun nouveau parc de prévu;
- aucun objectif concret de reboisement;
- aucun recensement de la biodiversité des milieux existants qui seront affectés;
- l'absence du service des parcs ou des parc-natures du comité de rédaction et de la rencontre à laquelle j'ai assisté.
Le projet tel que présenté par la ville m’apparait comme un désastre en termes d’espaces verts et d’écosystêmes. Il doit bien y avoir des bâtiments industriels et/ou des vieux centres d’achats désuets que l’on pourrait convertir pour la STM et Hydro-Québec, plutôt que de détruire les derniers éléments de nature dans ce secteur?
La Coalition Sauvons le ruisseau Molson - dont j'ai appris l'existence lors de ces consultations - a présenté à l'OCPM un mémoire visionnaire, qui témoigne des réalités du 21ème siècle et propose un projet inspirant pour ce secteur de Montréal souvent laissé pour compte. Je crois que la ville devrait largement s’inspirer de cette magnifique initiative citoyenne pour redéfinir son projet de dévelopment pour ce secteur.
- Monique D ProulxAssurer le maintien et même le développement de milieux humides à Montréal même. Faire revivre les ruisseaux qui sillonnaient l'île avant son bétonnage. Aménager des petits lacs dans des parcs, des petits ponts pour traverser les ruisseaux et refaire de Montréal un lieu de forêts et d'eau. Cesser la bétonisation des parcs. Créer des mini-forêts en ville, des ilots de nature.
- Danielle LemayOn sait combien la chaleur peut être accablante en ville, je ne peux imaginer qu'on rase encore des boisés au coeur de notre ville pour laisser aux mains de quelques promoteurs immobiliers. Je trouve insensé de couper des endroits qui procurent encore de la nature au sens propre du mot. La mairesse s'est engagée à lutter contre les îlots de chaleur, un boisé a été enrayé l'été dernier ayant fait l'objet d'une pétition à l'issue d'un travail d'histoire procuré par le travail d'un citoyen exceptionnel. Force est de croire que la sensibilité aux milieux naturels ne fait pas encore l'unanimité malgré de telles réquisitions alors que l'on agit à contre sens au sein de cette administration municipale. Je ne souhaites pas de parcs gazonnés avec des bancs et des glissoires pour enfants s'il s'agit de verdir la ville, on est loin des effets bénéfiques d'un milieu naturel. Je demande qu'on cesse de raser les derniers boisés naturels, je demande que l'on plante des arbres en quantité suffisante pour créer des endroits rafraîchissants au travers de cet enfer de béton. Garnir des murs de vignes et un bon moyen de garder de la fraîcheur dans les bâtiments. Les chemins qui parcourent les parcs ne devraient plus être en asphalte mais avec des matériaux qui gardent la fraîcheur comme de la terre battue par exemple.
- Danielle LemayOn sait combien la chaleur peut être accablante en ville, je ne peux imaginer qu'on rase encore des boisés au coeur de notre ville pour laisser aux mains de quelques promoteurs immobiliers. Je trouve insensé de couper des endroits qui procurent encore de la nature au sens propre du mot. La mairesse s'est engagée à lutter contre les îlots de chaleur, un boisé a été enrayé l'été dernier ayant fait l'objet d'une pétition à l'issue d'un travail d'histoire procuré par le travail d'un citoyen exceptionnel. Force est de croire que la sensibilité aux milieux naturels ne fait pas encore l'unanimité malgré de telles réquisitions alors que l'on agit à contre sens au sein de cette administration municipale. Je ne souhaites pas de parcs gazonnés avec des bancs et des glissoires pour enfants s'il s'agit de verdir la ville, on est loin des effets bénéfiques d'un milieu naturel. Je demande qu'on cesse de raser les derniers boisés naturels, je demande que l'on plante des arbres en quantité suffisante pour créer des endroits rafraîchissants au travers de cet enfer de béton. Garnir des murs de vignes et un bon moyen de garder de la fraîcheur dans les bâtiments. Les chemins qui parcourent les parcs ne devraient plus être en asphalte mais avec des matériaux qui gardent la fraîcheur comme de la terre battue par exemple.
- Karine GuernonJe souhaite que les boisés ne soit pas coupés et qu'il y ai plus d'aménagement vert
- Claude MarcotteIl serait important de valoriser les vestiges de milieux humides (ruisseau Molson) si possible à l’intérieur des aménagements prévus (poste Hydro Québec, axes routiers, friche industrielle), faites preuve d’imagination et soyez proactifs, il y a sûrement moyen de faire quelque chose en ce sens. En cette période d’inondations et en connaissant le rôle des milieux humides, ce serait faire preuve de responsabilité