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Secteur Bridge - Bonaventure

Commentaires en ligne - Vocation

  1. serge turgeon
    J'aimerais que le quartier soit un quartier où il y a une mixité sociale, un respect du patrimoine bâti industriel et ouvrier, des espaces verts multi-fonctionnels: détente, culturel, sports, activités communautaires.

    Bien que j'ai pratiqué ce sport avec passion étant plus jeune, je suis contre la construction d'un stade de baseball à PSC pour ces raisons:

    1- le baseball est en perte de vitesse partout en Amérique du nord (de 80 millions d'entrées à 68M en 10 ans) incluant Toronto, un ville avec un grand nombre d'amateurs de sports en tout genre. Le baseball n'intéresse pas les jeunes, alors la perte de popularité devrait s'accélérer. que feront nous dans 10 ou 15 ans avec ce stade ?
    2- un stade de baseball ne serait utilisé que 81 jours par an, donc 284 jours par an, ce mastodonte serait vide,
    ...
    3- le baseball professionnel n'est pas une activité qui va profiter à la communauté, ni à l'esprit communautaire, au contraire les soirs de baseball, il y aurait des milliers de personnes qui remplissent les espaces de stationnement, les poubelles, certains auront bu ou seront ivres et vont utiliser les espaces verts comme bon leurs semble.

    Merci,
    Serge
    Griffintown
  2. Guillaume Le Nigen
    La partie nord-est du secteur Bridge-Bonaventure constitue le prolongement du quartier Griffintown. Je crois qu'un complexe d'installations sportives devrait être construit à l'emplacement envisagé pour le stade de baseball. Griffintown n'a pas besoin d'un stade de baseball, mais de services puisque l'aménagement du quartier Griffintown présente de graves manques en services publics, notamment en ce qui concerne des installations sportives et un CLSC. Parmi les installations sportives que j'aimerais voir construites à l'emplacement prévu pour le stade, ma priorité serait l'aménagement d'une piscine intérieure de 50 mètres (taille olympique). Le modèle qui pourrait être retenu est celui du Schwimm und sprunghalle (https://www.berlinerbaeder.de/baeder/schwimm-und-sprunghalle-europasportpark-sse/) qui est un immense complexe aquatique situé tout juste en marge de la ville de Berlin et qui est situé sur le site d'une station qui relie le métro et le train de banlieue de Berlin. La construction d'un stade de baseball n'amènera aucune retombée économique ou culturelle aux résidents avoisinant le site. Les stades sont des îlots majoritairement inutilisés où personne ne se rend en dehors des événements qu'ils accueillent très sporadiquement. Enfin, le secteur sud-est de Griffintown est appelé à se densifier de façon importante avec la construction des dernières phases de Devimco et du projet C40 de la cour de voirie de la ville de Montréal (Demain Montréal).
  3. PIERRE Bissonnette
    {Vide}
  4. PIERRE Bissonnette
    Espaces verts
    Milieux naturels restaurés
    Quartiers résidentiels avec une mixité de logements privés et sociaux.
    Opportunité de développer l'agriculture urbaine.
    Pas de stade, on en a déjà un.
    Des infrastructures pour la population locale pas pour les touristes.
    Des artères et routes pour drainer la circulation hors du quartier de Griffintown et PSC.
    Pas de personnalité spécifique à développé, en continuité avec le quartier.
    Saisir l'opportunité de faire quelque chose de novateur qui ne sera pas un éléphant blanc dans 30 ans.
    Un quartier de notre époque axé sur l'environnement pensé par des urbanistes pas des promoteurs avide de $$$.
  5. Gabriel Sévigny-Ferland
    Le secteur devrait avoir une vocation mixte, soit industrielle/économique, résidentielle et culturelle/espace verts mais surtout avoir pour vocation de répondre aux besoins existants actuellement dans les quartiers avoisinants de Pointe-Saint-Charles et de Griffintown.

    Sa force est l'espace qui est encore disponible mais également son isolement relatif tout en étant près du centre. Sa faiblesse réside dans son utilisation comme zone de transit automobile.

    Dans la continuité de ce qui existe déjà, les secteurs d'emploi devraient être maintenus et renforcés dans le secteur du PEPSC et au sud de la rue Bridge. Nos quartiers doivent être mixtes et il s'agit d'un des rares lieux où ces activités peuvent encore se faire sans entrer en conflit direct avec les zones d'habitation. Il serait intéressant de lui donner une vocation de production et de tirer profit de l'existence des forges de Montréal et de l'Espace Verre pour développer un pole autour de ces métiers.

    Le secteur représentant les terrains de la SIC devraient être voués à répondre aux besoins existants en matière de logements sociaux et communautaires (tous les logements devraient y être socialisés (coop, OBNL, HLM)), de lieux de vie et d'équipements publics (écoles, CLSC, sports, loisirs, culture), qui font cruellement défaut du côté de Griffintown.

    Chose certaine, ce secteur ne devrait pas servir à un prolongement du type de développement fait dans Griffintown (tours à condos, développement dense, etc.), ni à accueillir un stade de baseball qui n'est structurant que pour le portefeuille des développeurs.
  6. Daniel Juneau
    Ce secteur est a forte densité industrielle et économique, y imposer la mobilité bobo a vélo serait une erreur.
  7. Gabriel Lorrain
    Pour moi la vocation de tout terrain se rendant disponible dans les 50 prochaines années est claire, redonner accès aux citoyens. Cela n’empêche pas une mixiticité de projets, incluant commercials, verts, mobilité, mais l’objectif ou l’axe principal devrait être l’accès aux berges aux citoyens. Cela devient une opportunité, non pas seulement pour la qualité de vie, mais aussi pour le tourisme. Prenons exemple Chicago, Toronto.
  8. Véronique Lépine
    Vivant à proximité de ce secteur, voici ce que nous pouvons retenir du secteur Bridge-Bonaventure:

    Par sa proximité avec les ponts le liant à la rive-sud, ce quartier est constamment bondés de tout le traffic de voitures et camions en transit pour le travail, pour les vacances ce qui dénature la vocation paisible d'un quartier......

    Manque flagrant d'école, nous ne possédons AUCUNE ÉCOLE SECONDAIRE DANS NOTRE SECTEUR!!! Ni Griffintown, ni Pointe St-Charles et cela pour combien d'unités de condos construites avec de nouvelles familles dedans...?

    L'opportunité à saisir: S.V.P Laisser tomber les projets qui rapporteront de l'argent à la ville mais qui mineront la vie des citoyens. Pourquoi vouloir à tout prix ressembler à toutes les villes du monde, le cachet unique de Montréal est entrain de disparaître au nom de décisions qui ne sont pas réfléchis, bâclés....Griffintown avait un potentiel, c'était de laisser son histoire en place, les écuries, les industries qui s'y trouvaient et tout a été perdus par la construction des tours à n'en plus finir...

    Laisser des terrains vides, faites des parcs, construisez une école secondaires.......une promenade vers le fleuve...pas de stade!!!
  9. Hubert Gagné-Marceau
    J'entrevois pour le secteur Bridge-Bonaventure un changement partiel et progressif de vocation. À moyen et à long terme, les industries lourdes et certaines grandes infrastructures de transport devraient être relocalisées dans d'autres pôles industriels existants afin de diversifier les attraits des quartiers concernés et d'y inclure davantage d'habitations, d'installations récréatives et d'activités économiques occasionnant peu ou pas de nuisances environnementales. L'idée générale consiste à conserver et à actualiser la vocation économique du secteur tout en le transformant en milieu de vie complet mis en valeur par son emplacement enviable et son patrimoine unique.
  10. Philippe Poissant
    - mettre en valeur le site funéraire des 6000 irlandais morts vers 1845

    - saisir l'occasion pour promouvoir les écoquartiers d'habitations et la conservation des quartiers populaires.

    - empêcher la gentrification et destruction du tissus social communautaire actuel en bannissant le projet immobilier et commercial Devinco ainsi que le stade de baseball.

    - les terrains publics fédéraux au bassin Peel doivent être réservés pour développer un milieu de vie inclusif en réponse aux besoins locaux, en lien avec la Stratégie nationale du logement du ministère de l'habitation de ce gouvernement.

    - y inclure des écoquartiers d'habitation.

    - modifier le tracé de l'autoroute bonaventure pour aménager des espaces riverains et installer des pistes cyclables avec passerelles piétonnes/vélo pour avoir accès à la berge du st-Laurent

    - instaurer l'accès et l'appropriation publique des berges du canal Lachine et du fleuve.

    - modifier la sortie du pont Victoria pour soulager la congestion sur les rues Wellington et Bridge

    - Désenclaver le secteur en modifiant le tracé des autoroutes et de la route provenant du pont Victoria pour permettre une accessibilité aux vélos et piétons.

    - aménager des pistes cyclables et améliorer la sécurité des piétons et cyclistes dans le secteur.

    - avoir des corridors verts.

    - préserver le patrimoine bâti (silo, bâtiments anciens) pour les réutiliser avec une nouvelle fonction.

    - Capter les gaz de méthane potentiels dans les terrains ayant fait l'objet de remplissage bordants le fleuve

    - utiliser la phytoreméditation pour décontaminer les terrains contaminés.

    -
  11. Clément François-Xavier
    On peut certes comprendre les craintes liées au risque d’embourgeoisement du secteur. Toutefois, il faut réaliser que le visage de Pointe-St-Charles change déjà. En fait, peu importe si les Expos sont de retour ou pas, le secteur continuera de changer. Il y aura du développement urbain et ça ne sera évidemment pas seulement pour y construire des logements sociaux ou encore des parcs à chien!


    Avec un parc de balle qui servirait de catalyseur d’un vaste projet de développement commercial et résidentiel, le renouveau de Goose Village serait couronné de succès!


    À l’évidence, l’acceptabilité sociale devra assurément être prise en considération par un plan de développement intelligent, en phase avec les besoins du marché actuel et ceux à venir.


    Le Groupe de Montréal qui fait la promotion du retour du Baseball majeur à Montréal semble avoir une volonté sincère d’offrir un projet structurant avec en tête un plan de mixité sociale. Ils doivent s’assurer d'inclure dans leur planification urbaine des infrastructures publiques pour offrir des besoins primaires de services publics. Le secteur aura besoin d'écoles, de bibliothèque, de parc public et surtout un accès manifeste de services de transport en commun!


    Il faut voir le projet dans son ensemble. Un parc de balle qui attirait des milliers d’amateurs dans le secteur au minimum 81 jours par année pourrait signifier la garantie d’obtenir une station du nouveau REM. Desservir le maximum d'éventuel utilisateur est certainement un enjeu primordial à analyser. Grâce au retour des Expos, ce serait une belle occasion à saisir!
  12. Audrey Bégin
    La future vocation du secteur devrait être avant tout résidentielle. Les besoins du quartier en logement abordables et sociaux sont criant. Projet Montréal a milité pour retenir les gens, les familles à Montréal et éviter leur exode vers les banlieues. Créer des logements abordables, destinés à des familles dans ce secteur - donc NE PAS accorder des permis pour la construction de tours à condos luxueux comme pour Griffintown - serait une action concrète en ce sens en favorisant un milieu de vie de qualité à proximité du centre-ville. Le secteur est mal déservi par le transport en commun et en favorisant une vocation résidentielle mais aussi économique pour des PME, ce serait une belle occasioon pour offrir plus de service dans ce secteur. Le quartier a depuis plus de 200 ans une identité communautaire, alimentée entre autre par sa forte présente ouvrière, d'ailleurs c'est ce qui est attirant pour les nouveaux arrivants du quartier. Il est donc primordial de garder cette mixité, cette offre de services avant tout accès sur l'intégration et l'esprit communautaire. Évitons de créer un Griffintown 2 où il n'y a aucun parc, espaces verts, aucun services de proximité, aucuns espaces communautaires comme des écoles, des bibliothèques, des centres culturels...
  13. Denis Bedard
    Bonjour,
    Je m’appelle Denis Bédard, je demeure sur la rue Wellington à mi-chemin entre les ponts Samuel de Champlain et Victoria, depuis près de 15 ans, auparavant j’ai demeuré sur la rue Saint-Charles pour plusieurs années toujours dans Pointe-Saint-Charles.
    Je me qualifie donc de « membre de la population locale », et m’exprime en mon nom personnel, je ne mandate aucun organise ou porte-parole pour m’inclure ou se dire mon représentant dans cette consultation.
    Mon commentaire se veut bref, et espérons assez structuré pour faire valoir mes opinions, mes attentes et mes appréhensions. Dans le but de me donner à moi et ma famille un cadre de vie sain et harmonieux.
    Le secteur :
    Le secteur Bridge-Bonaventure, d’une superfi cie de 2,3 km2, comprend les abords des ponts Champlain et Victoria, le parc d’entreprises de la Pointe-Saint-Charles, les rives du fleuve, les bassins Peel et Wellington, la Cité du Havre, la Pointe-du-Moulin ainsi que le quai Bickerdike.
    Ainsi le secteur est composé de différentes zones, qui n’ont aucune connectivité sociale, historique, sauf celle, d’être identifié arbitrairement par cette consultation comme faisant partie d’une ensemble sur une carte.
    Vaste secteur maintenant rendu au centre-ville, après la poussé phénoménale et mal planifié du secteur mal nommé de Griffintown.
    (voir p2)
  14. Denis Bedard
    P2
    Aussi il est occupé par un grand propriétaire, sur lequel les autorités de Montréal n’ont aucun pouvoir : Le port de Montréal, La Société des ponts, Parc-Canada, et les emprises de Transports Canada. Le CN, VIA Rail, Société canadienne d'hypothèques et de logement, Société immobilière du Canada limitée.
    Nous avons là un premier enjeu. Le dernier mot sera du gouvernement du Canada au travers ses sociétés et ministères. Toute la démarche présente pourrait être finalement qu’un élément d’une stratégie de lobbying auprès de ce dernier.
    De ce propriétaire s’ajoute une myriade de propriétés résidentielles, commerciales et industrielles. L’ensemble est hétéroclites souvent délabré et a été décomposé par l’abandon de la voie maritime du Canal Lachine. Amenant fermeture d’usine, chômage, décrépitude du patrimoine bâtie, misère. Situation suscitant la spéculation foncière de plusieurs.
    voir p3
  15. Denis Bedard
    P3
    Le secteur
    Le secteur est ancien, et a même participer à la fondation de Montréal. J’habite près de la maison Saint-Gabriel ; havre, et ferme de Marguerite Bourgeois, première propriétaire de la majorité de l’espace concerné. Elle obtient 1662, et 1668 de Paul de Chomedey de Maisonneuve, gouverneur de Montréal, et d’un voisin une concession de terre à la Pointe-Saint-Charles. Les maisons de mon cartier ont environs de 100 à 150 ans. Les espaces industrielles dates des belles années de Canal Lachine. Ma rue Wellington, première rue à sortir de Montréal, dont le vrai nom est « Chemin de Lachine », visible sur les cartes de Léry de 1713, nommé comme tel par de Maisonneuve, et rebaptisé par la conquête. D’ailleurs, je veux que ma rue dans son tracé original, retrouve son nom français d’origine, faites en un message à la commission de toponymie.
    Deuxième enjeu, Rien sur ce qui pourra ce dire sur la PSC, concernera la cité du Havre. Rien de ce qui pourra être dit sur les abords du fleuve ne concernera la « Pointe du Moulin » Et vous pouvez continue ainsi par paire en vous rendant compte que chaque zone est un univers en soi dont la situation les enjeux et les améliorations possibles ne s’appliquent pas à la zone adjacente.
    voirP4
  16. Denis Bedard
    P4
    Changement social
    La population de PSC, ainsi que plusieurs commerces sont en voies de gentrification rapide. Les valeurs des propriétés explosent, les loyers suivent, des expulsions sauvages ont lieu. La lutte à la pauvreté bat son plein, repoussant celle-ci vers l’ouest.
    Les objectifs identifiés par l’OCPM :
    • protection et mise en valeur du patrimoine;
    • amélioration des déplacements en transports collectifs et actifs;
    • maintien et consolidation des secteurs d'emploi;
    • réduction des îlots de chaleur urbains et augmentation des espaces verts et publics;
    • amélioration de l'accessibilité publique au canal de Lachine et au fleuve Saint-Laurent;
    • réhabilitation de sols contaminés
    Troisième enjeu : Toutes améliorations et mise en valeur du secteur, fera croitre la demande pour ce secteur renouvelé, près du centre-ville. Accentuant ainsi la gentrification du secteur, et finira le travail d’expulsion des non nantis.
    voirP5
  17. Denis Bedard
    P5
    Quelques sous-secteurs en examen
    Je vais privilégier quelques zones au détriment de d’autres. D’autres personnes et organismes pourront combler cette lacune.
    Le Canal Lachine
    Il reste peu à développer aux abords du canal Lachine, des condos de luxe se sont érigés ces 5 dernières années. Pour la plupart tournant le dos aux populations et environnent immédiat. Aucune intégration urbaine, architectural si ce n’est de la brique en parement, et certainement pas d’intégration sociale. Les commerces de la rue Centre ne bénéficient pas ou peu de ces nouveaux arrivants Dans les prochaines années ce développement se fera vers l’ouest jusqu'à Lachine.
    La zone Wellington, bridge, le canal Lachine.
    Un espace qui de zone de délabrement est devenu une zone de guerre. Bordé par Le Chemin-de-Lachine, (ancienne rue Wellington), la rue du pont (ancienne rue Bridge) le bassin Peel ( !) et autoroute Bonaventure. On y voit actuellement des grues du REM. Deux visions s’affrontent : Les millionnaires du Baseball, qui veulent un Stade, sans même avoir d’équipe, avec transport collectif vers le centre-ville, et des tours à condos grand luxe avec vue imprenable sur le Centre-ville. Oubliez toutes promesses illusoires de logement sociaux, dans des emplacements qui se vendront au bas mot de 500, 000$ à 3M.$.
    voirp6
  18. Denis Bedard
    p6
    Personnellement je n’irai pas dans ce stade, mais il m’amènera une circulation de transit épouvantable les soirs de joute. Le Chemin de Lachine (ancienne rue Wellington) entre le pont Samuel de Champlain et la rue du Pont, (Bridge) sera un cauchemar dans ma zone résidentielle. Des centaines de voitures traverseront le plus vite possible ce petit peuple, les zones scolaires et le reste pour aller et revenir d’un match de baseball ou d’un concert rock. Ce sera des blessés et des mortalités inévitables. Aucun apport pour ma communauté sauf ; des jobs de placiers, de vendeurs de hot-dogs, de laveurs de planchers.
    Somme toutes parce que il est inimaginable de laisser ce superbe terrain en parc, je préfère le projet proposé en multi usages, qui comprend les incontournables condos de luxes, mais aussi du logement social, (ceux qui ne verront pas le centre-ville ni le Canal), des commerces de proximités, peut-être des fonctions scolaires et de santés, et un accès public en transport actifs au Canal-Lachine. Cela fera beaucoup de monde mais avec une amélioration du transport collectif, l’usage d’un arrêt du REM au bassin Peel et l’étalement dans le temps de la circulation le tout sera toujours vivable.
    p7
  19. Denis Bedard
    P7
    Quatrième enjeu : Où la ville de Montréal trouve son bénéfice ? Dans l’assiette foncière ou dans le bonheur de sa population. Pour la précédente administration, à voir le développement anarchique sans vision de Griffintown la réponse était clair. Mais il y a peut-être une lueur d’espoir pour l’autre côté du canal. De même du côté de la Société immobilière du Canada limitée, comment se prendra la décision de céder du terrain en bordure du Canal-Lachine ? Qui influence ? Qui a un droit de regard ? Bien sûr au final le gouvernement du Canada.
    La zone de triage du CN à PSC
    Maintenant un peu plus vers l’Ouest, dans la vaste zone de la gare de triage du CN, une entreprise de transports sur le coin de rue stratégique (Bridge-Wellington) défonce les rues, circule jours et nuits, devrait bénéficier d’une offre généreuse de relocalisation.
    Toujours tout près de chez moi, dans la même zone de gare de triage, un éléphant blanc trône dans le milieu de la place. Un centre d’entretien tout neuf d’EXO, qui ne servira vraisemblablement pas. Faudrait poser des questions au REM, pourquoi il veut construire à grand frais la même chose ailleurs ? Dans tous les cas le gouvernement du Québec est interpelé sur l’usage de ce vaste espace.
    versP8
  20. Denis Bedard
    P7
    Une menace constante et une pollution sonore, visuelle, et atmosphériques permanente, le passage des wagons de marchandise sur la « main line » du CN dans PSC. Ce chemin est là depuis 150 ans, une ville s’est construite autour. Mais il n’y a pas si longtemps un wagon déraille et tombe près de l’école et la garderie Charles-Lemoyne. Ils vont trop vite pour entrer à la gare de triage. Allez dont négocier avec ces gens qui sont propriétaire du Canada. Personne n’arrive à leur faire repeindre le pont de Québec, alors la PSC.
    Une opportunité
    Une solution existe, de la traversé du Canal-Lachine à la hauteur de Saint-Augustin, deux lignes existent, celle menant au travers de la PSC au centre de triage et l’autre longeant l’autoroute 15, dont se sert Via Rail pour son centre d’entretien. Cette deuxième ligne peut être renforcée pour tout prendre, et ainsi effacer la cicatrice au milieu de PSC, et éliminer la pollution permanente de cet opérateur. L’OCPM parle d’une augmentation des espaces verts et publics dans la zone et bien voici justement une immense espace qui débarrassé de l’emprise de la voie ferrée s’offre à un tel projet, du fleuve au Canal Lachine et au-delà vers le métro Saint-Henri au travers d’une piste verte ce n’est pas rien.
    vers p8
  21. Denis Bedard
    p8
    Les berges du fleuve. J’ai regretté que la construction du Pont Samuel de Champlain n’ai pas permis de prévoir le moindre passage pour une piste cyclable qui prolongerait la piste qui longe le fleuve à partir de Lachine. Cette piste mène au Canal Lachine en passant par une zone effroyable de circulation en labyrinthe ou vers l’Ile des sœurs, et bientôt traversera le pont Samuel de Champlain, mais rien vers l’est, vers la Cité-du-Havre et vers le Vieux-Montréal, le Centre-ville. Comment peut-on se concerter quand il y a trois ordres de gouvernement interpellé par une aussi petite piste cyclable ? Pourtant quelque chose qui longerait le fleuve en accotement de Bonaventure aurait été extrêmement intéressant.
    Toujours sur les berges du fleuve, une vaste zone entre la rue Marc Cantin et Bonaventure attend le développement. Et même au-nord de Marc Cantin sur les terrains inutilisés de la cour de triage du CN. La zone est constitué de remplissage jusqu’au fleuve. Du déversement toxique dans le fleuve est parfois dénoncé. Pour le terrain du CN, le long de Bridge, j’imagine un terrain de plusieurs mètres de produits toxiques déversés depuis 1850, à nos jours. L’endroit semble parfait pour un développement résidentiel commercial genre Ile-des-sœurs avec vue imprenable sur le fleuve et le Centre-ville.
    vers p9
  22. Denis Bedard
    p9
    Cinquième enjeu, Qui demande et qui donne ? Une vision à la pièce gérée par une multitude d’organismes relevant du gouvernement du Canada ou une vision d’ensemble avec une volonté politiques ferme, mené par un bâton, de l’argent et des modifications législative. J’en arrive à la conclusion suivante :
    Le Gouvernement du Canada doit rétrocéder tout le secteur incluant toute la zone du Canal-Lachine, toute la zone du port de Montréal longeant le Saint-Laurent, les ponts, la cité du Havre, et donner juridiction sur les sociétés de la couronne fédérale présente dans le secteur au Gouvernement du Québec, qui lui-même délègue à la ville de Montréal des pouvoirs d’aménagements de ce territoire.
    Merci pour votre attention
    fin
    Merci
  23. Elaine Robichaud
    {Vide}
  24. chantal sirois
    Messages aux commissaires,

    SVP, allez faire un tour sur les rues Ottawa, Young, Murray et autres rues de Griffintown. Bien que le quartier soit tout neuf, ces rues sont terrifiantes.
    C’est ce que ça donne lorsqu’on donne carte blanche aux promoteurs.

    SVP, sortez de la salle d’audience et passez voir ces rues.
    Il n’y a pas de parc, pas d’arbres, pas de piste cyclable, et parfois, même pas de trottoir!
    La Cité du Multimédia n’est guerre mieux.

    Bridge-Bonaventure offre l’occasion de compenser les laideurs de Griffintown et de la Cité du Multimédia.
    Si on ajoute de la laideur dans ce secteur de la ville, les gens finiront par le déserter et personne ne sera gagnant.

    Les villes les plus riches sont belles.
    Les quartiers les plus riches sont verts.
    En urbanisme, ça tient toujours; quand c’est beau et vert, les redevances sont récurrentes pour longtemps…