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Assomption sud – Longue-Pointe

Commentaires en ligne - Transports et liens routiers

  1. Vincent Obry-Legros
    Aménager un stationnement Incitatif pour le métro l'Assomption. (En particulier si les espaces de stationnement le long du Boulevard L'assomption un peu plus au nord sont perdus.)

    Aménager une voie réservée sur Notre Dame pour les Autobus 410 430 (et autre) dans les deux directions et fonctionnelle toute la journée
  2. Danielle Daloe
    Le transport en commun est déficient à tout point de vue. Aucune station Bixi ,malgré le fait qu'ils sont rapatriés sur Dickson.

    La fréquence de la 32 m'incite à travailler en voiture. Retour du centre-ville si départ plus tard que 17h15 me prend souvent plus d'une heure.
  3. Anne-Marie Pinsonneault
    Plus de pistes cyclables qui traversent les parcs, plus de lignes de métro et d'autobus, moins d'espaces de stationnement
  4. Élise Morin
    Je passe dans le secteur en vélo et aussi à pieds de temps en temps. Beaucoup de choses ont déjà été dites durant la consultation publique concernant le tracé de la route proposée, par contre j'aimerais ajouter des questions concernant la sécurité des piétons et des cyclistes, particulièrement de personnes qui s'identifient comme femmes.

    Durant la consultation publique, ce n'était pas encore très clair quels genres de commerces autres que les grosses institutions comme Hydro Québec, la STM et autres, allaient pouvoir s'installer dans ce secteur industriel une fois que les nouveaux développements auront commencés. Si jamais il y a des commerces tels que des cafés indépendants, des PMEs ou des espaces de travail partagés qui restent ouverts après 17h, quelle sorte d'éclairage ou de sécurité y aura-t-il autour des bâtiments et le long des rues? Souvent dans les zones de "box stores" il n'y a tout simplement pas de trottoirs pour les piétons - est-ce que ce sera le cas dans cette zone ou est-ce qu'il y aura des trottoirs partout où c'est nécessaire?

    Présentement, en tant que femme, j'hésite à me déplacer seule à pieds et même en vélo dans certains endroits de cette zone industrielle une fois la nuit tombée (ce qui peut être vers 17h en hiver) car je ne me sens pas totalement en sécurité. L'éclairage est parfois insuffisant mais surtout certains endroits deviennent déserts une fois les heures de bureau terminées.
  5. Ghislaine Saillant
    Depuis trop longtemps nous n'avons plus de lien par la rue Notre-Dame pour les piétons, aucun transport en commun. Une piste cyclable d'une grande dangerosité. Ce n'est pas avec le projet actuel que le problème sera résolu. Nous vivons dans un désert alimentaire et pas beaucop de moyens sans auto. Même avec une auto sortir/entrer par certaines rues est un exploit (Rougemont-Bossuet-DuQuesne). La configuration des intersections est dangereuses pour tous les usagers, du piéton au camion. Pourquoi ne pas repenser intelligemment?
  6. Caroline Michaud
    Je pense que tout ce qui favorise les déplacements à vélo ou en autobus est favorable.

    Il n'y a actuellement aucun lien sécuritaire entre la piste cyclable de souligny et le centre-ville de Montréal. Il est difficile de se rendre au travail en transport actif de façon sécuritaire. C'est un grand besoin que d'augmenter les liens cyclables.

    L'ajout de lien avec Notre-Dame ou le prolongement du boulevard L'Assomption risque d'augmenter la circulation et donc le bruit et la pollution. Et pour moi ne facilitera aucun déplacement.
  7. Yuliya Bodryzlova
    1. Mettre les nouvelle routes plus loin possible des maisons résidentielles. N'oulbiez pas que des personnes âgées, des familles avec des nouveaux-nés, les personnes malades peuvent y habiter.
    2. Selon moi, tout est correct.
    3. La ligne de tramway tout au long de Notre Dame sera une solution idéale.
    4. Il n'y a pas des aspects positifs. Plus de routes veut dire plus de circulation, plus de circulation veut dire plus de traffic, plus de traffic veut dire plus de routes. C'est pas la solution dont les nuisances peuvent être compensées. Il faut que la porte gére mieux sa logistique.
    5. Il faut avouer que le secteur est devenu un seceur résidentiel. Il n'y a place pour le transport ferroviaire dans le secteur résidencielle.
    6. Je me sentirais plus en sécurité avec les signes d'arrête sur les intersections.
  8. Louis-Patrick Jacob
    Tout d'abord, tout projet qui réduit les espaces verts et augmente le bruit sont à proscrire ! Je suis propriétaire dans Viauville près de la cours de triage Longue-Pointe. Je m'oppose fortement au projet proposé Assomption sud car il n'est pas durable et va augmenter les nuisances sonores et va nous enlever le peu d'espace vert qu'il reste. C'est aberrant ! Refaite vos devoirs c'est honteux ! Il nous faut moins de bruit et plus de verdure ainsi que la connexion du réseau cyclable de l'antenne ferroviaire à la piste Dickson
  9. Yan St-Hilaire
    Bonjour, je suis un résident du secteur Mercier-Est de l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Je constate que la rue Dickson est très mal configurée avec plusieurs lumières qui cause de la congestion inutilement.

    Il ne faut pas oublier que plus vite les camions se rendent sur l'avenue Souligny, moins il y aura de congestion dans le secteur.

    Donc c'est pour cette raison là que j'appuie le prolongement du boulevard de l'Assomption jusqu'à la rue Notre-Dame ainsi que le prolongement de l'avenue Souligny.


  10. Marc Beaudoin
    En tout cas clairement allonger une autoroute pour permettre davantage de trafic dans le secteur ne m'apparaît pas une idée particulièrement lumineuse. Pour diminuer la congestion il faut réduire le trafic et la cause principale est la quantité de véhicules, pas la largeur ou la quantité de routes. La vision de modernité basée sur la création de routes dates des années soixante : nous sommes à l'aube d'une crise environnemental, pas de la révolution tranquille.

    Si l'infrastructure ferroviaire permet davantage de trafic sans avoir à détruire l'espace vert qui s'est créé là, d'accord. Mais pas de route supplémentaire : on en a déjà trop.
  11. Elisabeth Greene
    Présentement, la portion de la piste cyclable sur Notre-Dame est extrémement désagréable et non, je ne m'y sens pas en sécurité. Il y a beaucoup d'amélioration à apporter à ce niveau.

    Il serait très important de relier les deux arrondissements l'un à l'autre avec un réseau de pistes cyclables agréable et sécuritaire. Un lien direct avec la promenade Bellerive serait un atout.

    Pour ce qui est du transport ferroviaire, il y a là beaucoup d'amélioration à apporter. Ils sont très bruyants et dérangeants, surtout la nuit.

    Ce serait bien d'améliorer le transport en commun sur la rue Notre-Dame, autant direction Est que Ouest.
  12. Grégoire Claveria
    Définitivement le viaduc devrait passer plus à l'est afin de s'éloigner des zones urbaines. Le transport lourds circule sur notre dame pour les besoin du port. Le transport lourd devrait circuler sur le terrain du port parallèlement à notre dame. Une grande proportion de la densité de la circulation est dû au port, celui ci devrait régler son problèmes avec ses ressources.

    La rue St Catherine est peu sécuritaire le soir à cause des locaux inocupés, et des commerces fermés. C'est sombre et peu fréquenté.

    Pourquoi l' autobus 136 viau ne descend pas jusqu'à notre dame? Cela oblige de prendre deux lignes d autobus pour faire le trajet St Catherine/Viau jusqu'à St Catherine/Rosemont.

    Le prolongement des rues Souvigny et L'Assomption vont probablement aider à la circulation.

    Le port devrait prévoir une expansion de ces activités en s'éloignant de Montreal afin de redonner les rives du fleuve au citoyens.
  13. Sebastien Proulx
    Le projet qui suscite mon indignation est sans aucun doute le prolongement de l'avenue Souligny, en passant par un échangeur en hauteurs, pour aller se connecter au port de Montréal en par un viaduc, tout cela à proximité des résidences et d'un CHSLD. Les citoyens ont l'impression qu'on va déverser une quantité incroyable de circulation de camion directement dans leurs cours. On ne règle pas le problème en construisant des murs de béton.

    Les terrains vacants sont immenses, il y a moyen de trouver une meilleure solution pour améliorer la fluidité vers le port, quitte à exproprier une partie des terrains des entreprises qui bloquent actuellement l’accès au port.
  14. Madalina Burtan
    Le projet actuel vise surtout a créer des voies de sortie pour le Port de Montréal en prévision de l'augmentation de son activité et par la bande amener quelques industries dans le secteur pour les quelques terrains restants. Or, en sachant qu'il y a un grave problème de congestion routière qui nuit a la qualité de vie actuellement, ajouter de nouveaux liens routiers va seulement augmenter encore plus le trafic. C'est connu et documenté dans le domaine de l'aménagement : ajouter plus de liens, amène plus de trafic; de plus, le réseau supérieur, la 25 est déjà congestionné, c'est de la pensée magique de croire que prolonger deux boulevards va résoudre le problème de congestion. Ça va l'empirer.
    Aussi, en sachant qu'on est dans une ère d'urgence climatique, les actions devraient être posées pour réduire les émissions de GES dues au transport et non pas les augmenter. Les projets du Port de Montréal se font comme il y a 50 ans, dans l'ignorance heureuse des problèmes de pollution, de nuisances et d’émissions de GES. On constate aussi que l'acceptabilité sociale ne fait toujours pas partie de la réflexion et cela est scandaleux. Malheureusement, on ne peut plus faire semblant que le réchauffement n'existe pas et faire du développement sur le même modèle qu'avant. Avant de donner l'aval a des projet aussi majeurs que la création de nouveaux liens routiers, il faut se questionner sur le modèle d'avenir qu'on veut adopter, et le Port devrait assurer des solutions durables et non pas juste ajouter des camions sur la route et accentuer les problèmes. Actuellement, les activités industrielles et portuaires sont basées sur des ressources fossiles qui génèrent de plus en plus de gaz à effet de serre. L’organisation économique actuelle a laquelle participe le Port de Montréal est basée sur des circuits de plus en plus longs et énergivores. Développer pour l'avenir et créer un eco-parc qui aurait d'"éco" davantage que son nom c'est miser sur l'installation d'industries d'innovation, basés sur le savoir et qui valorisent des moyens de transport propres. Si le Port souhaite avoir des solutions de transport pour répondre a ses besoins de développement il devrait proposer et financer des solutions durables qui n'augmentent pas les nuisances. La vie et la santé humaine sont actuellement menacées, n'en déplaise aux dirigeants du Port de Montréal, et nous ne pouvons plus mettre la tête dans le sable au nom du sacro-saint développement économique. Il faut assumer nos responsabilités et faire du développement de façon intelligente, en misant sur du développement qui valorise les circuits courts et la réduction de la consommation d'énergie, et particulièrement au niveau du transport.
    C’est la seule option réaliste pour réduire nos émissions de GES. Le projet actuel n'est tout simplement pas acceptable car il n'est pas viable.
  15. Daniel Vanier
    La délocalisation de la cour de triage du CN est devenue une nécessité . Notre proposition de la déménager a environ 150 mètres a l"est de la localisation actuelle (Mémoire de Vanier et Caron, 2019) présente un compromis acceptable a notre avis. Le témoignage entre autres de Madame Émilie Dupuis , de la coopérative d'habitations, nous donne une preuve irréfutable des nuisances sonores vécues par ces nombreux résidents. L'installation d'un talus géant en face de la Coop crée un retour de bruit occasionné par les activités a la cour de triage du CN. Ce qui est inacceptable.

    Notre proposition permet :

    - d'éloigner les résidentes et les résidents du bruit de la cour de triage du CN;
    - planter sur ce site des centaines d'arbres, de plantes indigènes permettant d'aménager un écran anti-bruit végétalisé dense, probablement, la mesure anti-bruit la plus efficace;
    -récupérer cet espace pour le futur Parc Nature, en incluant un chapelet de quelques étangs et marais reliés entre eux par le ruisseau et qui serviraient de bassins de rétention naturalisés;
    - de se rapprocher sensiblement des activités de la future plateforme intermodale de transbordement.


    Daniel Vanier

    Résident d'Hochelaga-Maisonneuve
  16. Pascal Gaudette
    La proposition actuelle de la ville me semble relever plus du 20ème que du 21ème siècle.

    On a beaucoup parlé de la circulation des camions porte-conteneurs dans le quartier, mais il me semble possible d'amener les conteneurs à la périphérie du secteur sans même avoir recours aux camions! Il existe déjà dans ce secteur des voies ferrées hors d’usage, donc un corridor qui pourraient permettre la construction d’un système de monorail électrique surélevé qui pourrait amener les conteneurs jusqu’à la limite de l’autoroute trans-canadienne. Je pense au stationnement et terrain vague situé au nord de la rue Tellier, juste en bordure de la 25, où l’on pourrait aménager une infrastructure de chargement des camions. Cette idée est inspirée d’un article de la revue Port Technology (publiée par le Port de Rotterdam) intitulé “Automatic container transport by electric monorail” (référence ci-dessous). Selon les auteurs, les coûts de déploiement et d’entretiens d’un tel systême seraient plus que compétitifs. Je propose un systême à plus petite échelle, mais qui serait néanmoins novateur et pourrait même servir de projet pilote pour un systême plus ambitieux.

    Les conteneurs sortiraient du port près de Grace Dart, puis longeraient l’avenue Souligny, mais l’utilisation d’une infrastructure éléctrique renderait leur mouvement silencieux, et le fait d’utiliser une infrastructure surélevée permettrait l’aménagement d’infrastrutures vertes – parcs, pistes cyclables (voir le mémoire de la Coalition Sauvons le ruisseau Molson) – sous le monorail porte-conteneur. La diminution de la circulation de camions dans le secteur soulagerait le réseau routier.

    https://www.porttechnology.org/technical_papers/automatic_container_transport_by_electric_monorail
  17. Carole Laberge
    Lors des présentations de mémoires la semaine dernière, nous avons appris que le port de Montreal prévoyait faire passer 1700 camions par jour par la rue L’Assomption vers Souligny. Or, 1700 camions par jour, c’est, sur une période de douze heures, plus de 140 camions à l’heure, plus de deux par minute. C’est un rythme infernal qui ne permet aucun répit au niveau du bruit et des émissions de CO2. La ville prétend adoucir ça en construisant un trottoir et une piste cyclable espacés par une bande verte!!! Mais qui va aller marcher là et pour aller où. Il n’y aura aucune habitation, parc ou commerce incitant qui que ce soit à aller marcher dans le bruit constant et la pollution engendrée par tous ces camions.
    La seule solution pour échapper à ce cauchemar, à mon avis, est que le port utilise sa route intérieure pour faire circuler son nombre effarant de 3500 camions par jour à l’aller comme à la sortie.
    Ainsi, on éviterait la construction d’un viaduc, d’une autoroute et d’un pont surélevé. Le port s’agrandit et augmente sa profitabilité, soit, mais pas au détriment des résidents du quartier qui en subiront tous les désavatanges et aucun avantage.
    Et si le projet devait se réaliser comme tel, je suggère à la ville d'économiser sur le trottoir. Avez-vous déjà vu des piétons sur Dickson prenant une marche de santé ou même sur Notre-Dame tout le long du port? Le présent est garant de l’avenir dans ce cas-ci.