L’Office de consultation publique de Montréal est à la recherche d’un nouveau président ou d’une nouvelle présidente pour effectuer un mandat de quatre ans. Vous avez jusqu’au 1er août 2014 pour postuler par le système informatisé de la Ville de Montréal. Rappelons que la composition du comité de sélection pour le choix de la présidence a été annoncée le 18 juin dernier. Il est présidé par M. Russell Copeman (Coalition Montréal), membre du comité exécutif responsable de l'Office. Les autres membres sont Karine Boivin Roy (Équipe Coderre), Érika Duchesne (Projet Montréal), Lorraine Pagé (Équipe Mélanie Joly), Nancy Shoiry (Ville de Montréal), Raphaël Fischler (Université McGill), Michel Venne (Institut du Nouveau Monde) Ainsi, sous l’autorité du conseil municipal et du comité exécutif, le président aura pour mandat : • Établir des règles assurant des mécanismes de consultation publique crédibles, transparents et efficaces. • Présider ou siéger à des audiences de consultation. • Proposer au conseil municipal des candidatures de commissaires en temps voulu. • Assurer la formation auprès des instances en matière de consultation publique. • Rendre compte au moins une fois l’an de ses activités au conseil et formuler des recommandations. • Gérer toute autre activité et les ressources humaines de l’Office. • Encourager la participation et développer des relations de confiance avec le public, les milieux socio-économiques et communautaires, les fonctionnaires municipaux et les élus. • Assurer le rayonnement de l’Office et veiller à la diffusion et au transfert des connaissances en matière de consultation publique. Exigences : En plus de détenir une connaissance étendue de la Ville de Montréal et des grands enjeux que l’Office pourrait être appelé à traiter, la personne recherchée est reconnue pour sa rigueur, son efficacité et son impartialité et détient une grande crédibilité dans le milieu. Elle se démarque par sa capacité à intervenir dans des environnements complexes faisant appel à des habilités de leadership, de communication et de concertation. De plus, elle doit maîtriser la langue française et avoir une bonne connaissance de la langue anglaise.
